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    Arrivée à Larnaca : 20h30 heure locale.
    Une superbe Ford Fiesta noire nous attend sur le parking de l'aéroport.
    Cool le voyage Clairorganisé !

    MAIS...

    il fait nuit et la ville nous semble tout à coup bien inhospitalière...

    Bah ! un petit essai sur le parking (volant à droite et levier de vitesses à gauche)
    et c'est parti mon kiki ! Il n'y a guère que toute la ville à traverser
    vers une destination comme qui dirait quasi totalement inconnue...


    Le lendemain, après une bonne nuit réparatrice des petits maux de tête de la veille
    (un léger stress tout de même je l'avoue...)
    petite visite de Larnaka avec tout d'abord l'église Saint-Lazare

    et son iconostase truffé d'icônes étincelantes
    que les fidèles chrétiens orthodoxes embrassent à chacune de leurs visites
    en prenant soin de nettoyer auparavant la vitre avec leur mouchoir.




     
    Ne quittons pas Larnaka sans une visite à la Collection Piéridès,
    très agréable petit musée couvrant une période de 5000 ans
    d'histoire des civilisations...


     
    Et maintenant, en route pour la capitale ! Nicosie (Lefkosia en grec).

    Oui oui, je sais vous allez dire : elle nous bassine avec sa science !
    mais figurez-vous que parfois la science c'est utile...
    pour savoir par exemple quelle route on doit emprunter pour aller à Nicosie,
    deuxième étape de cet autotour.

    mais c'est quoi ce "bins" sur la pancarte ?

    il n'y a pas écrit Nicosie mais Lefkosia !

    Dur dur, hein Philippe... il va falloir être au top pour le guidage !

    Nicosie, une ville coupée en deux par une guerre encore trop présente
    dans les mémoires : 1974 (6000 morts et des centaines de disparus...)
    Les casques bleus de l'ONU sont chargés depuis d'y faire règner l'ordre.


     
    On se risque à traverser la frontière ?
    On lit sur les guides que quand on le fait,
    on risque de ne plus pouvoir remettre les pieds sur le sol "grec"...

    Mais, renseigenements pris auprès du réceptionniste de l'Hôtel Centrum
    où nous sommes bien logés, il parait qu'il n'en est rien
    et qu'on nous mettra tout bonnement un tampon sur un papier volant...


    Allez, on y va : qui ne risque rien n'a rien...
    Bienvenue en Turquie !
    (ou plus exactement dans une République qui n'est reconnue exclusivement que par la Turquie)...


     
    Les minarets de... l'ancienne Cathédrale Sainte-Sophie commencée en 1209
    et transformée en mosquée depuis l'occupation ottomane il y a 400 ans.


     
    beau portail gothique



    Pour visiter ce lieu de culte islamique, on se déchausse naturellement
    pour fouler le dallage du 13ème siècle (dixit le guide Hachette)
    désormais recouvert d'une épaisse moquette.

    Ca a de la gueule tout de même, non ?




     
    Nicosie "turque" vue depuis une tour de la capitale "grecque".


     
    Les chypriotes turcs narguent leurs ex-concitoyens grecs
    par un immense drapeau de pierres blanches érigé
    sur les côteaux de la montagne voisine. Drôle de guerre...


     
    Chats grecs ou chats turcs ? Eux seuls peuvent franchir la "ligne verte"
    qui sépare les deux côtés de Nicosie sans avoir à présenter leur passepart !
    Ce qui est sûr, c'est que les chats sauvages prolifèrent sur l'île,
    vivant de l'aumone des habitants et des touristes.
    Ils nous ont surpris par leurs oreilles pointues...


     
    Retour côté grec avec un petit café oriental à la terrasse d'une brasserie
    de la grande rue piétonnière qui coupe la ville en deux dans le sens nord sud.



     
     
    Je précise "café oriental" car ici, tout comme en Grèce ou en Turquie, on ne connait pas l'espresso cher aux compatriotes de Loredana et l'on a intérêt à ne pas tenter de se servir d'une petite cuillère si l'on ne veut pas avoir du marc plein la bouche...

    Alors, si on le veut sans sucre : c'est sketo,
    si on le désire sucré : c'est metrio
    et si on le veut liquoreux : c'est glico !


    Alors, Philippe, il est bon ce sketo ?

    Par prudence (?) mais je crois surtout eu égard à la chaleur qui règne en été sur l'île,
    le café est obligemment toujours accompagné d'un grand verre d'eau bien fraîche...
    Sympa cette coutume orientale !

    Mais je parle, je parle et il nous faut pourtant poursuivre le voyage.

    Direction donc les montagnes du Troodos au coeur de l'île.

    Nous quittons momentanément la nationale qui relie Nicosie à cette belle région montagneuse pour prendre une route secondaire afin d'aller admirer
    la Chapelle d'Asinou inscrite au Patrimoine mondial de l'Unesco
    pour la beauté de ses peintures murales byzantines.


    Le guide note qu'une inscription sur un pilier indique qu'elle a été construite entre 1099 et 1106...

     
     


    Allez, on continue la route : direction la chapelle de Kakopetria
    également très renommée pour ses peintures murales du XIème siècle.

    Et bien non : la chapelle, on ne l'a pas vue !

    La responsable : une forte envie partagée de s'attabler à la terrasse d'un restaurant fort accueillant dans le village du même nom,
    histoire de recharger un peu les batteries en mangeant une bonne glace !

    Allez, je vous mets la photo : je suis sûre que vous en auriez fait autant.
    Que Dieu me pardonne...


     
    Au col, on s'arrête pour admirer la vue,


     
    et acheter des loukoums : trop bon comme disent les enfants !
    d'ailleurs, on n'a pas hésité à les entamer sur le champ...


     
    Fin de journée et arrivée à l'Hôtel "Petit Palais" à Platrès
    qui porte bien son nom.


     
     
    Comme partout dans l'île, un lit double de 180 cm... (on se cherche parfois !)
    et ici, le top : deux fenêtres dans la chambre, en angle SVP,


     
    permettant d'admirer ce superbe paysage.


     
    Le soir, petit tour dans le village pour moi, détente au balcon pour Philippe.


     
    Le lendemain, après un bon petit déjeuner en terrasse,
    au soleil pour moi et à l'ombre pour Philippe,
    Décidément l'organisatrice du voyage a bien fait les choses !
    On dirait même qu'elle nous connaît !
    Mystère, mystère...

    Bon : ça va les chevilles Claire ?

    route pour Paphos, au sud-ouest de l'île.

    En route, arrêt dans le pittoresque village d'Omodos,
    connu pour ses dentelles et son monastère.

    Mais tout d'abord le petit café grec du matin en terrasse pour
    pouvoir profiter de la vie du village à l'abri du soleil...



     
    et maintenant qu'on est "requinqué",
    un petit tour au monastère : une pure merveille architecturale
    et un vrai hâvre de paix, tout ceci en pleine nature bien sûr.



    Alors, Paphos, ça vous dit ?
    Une petite carte peut-être pour bien vous repérer ?


     
    Alors ici, on va se régaler avec l'archéologie car
    Paphos existe depuis le IVème siècle avant notre ère...

    La raison de sa notoriété à cette époque ?
    Une certaine Aphrodite qui attirait les foules de pélerins venus de tout le monde antique vénérer la déesse de l'Amour dans son sanctuaire,
    tout près du lieu qui la vit naître...

    Paphos fût aussi , en son temps, la capitale de cette colonie égyptienne.
    Faisant face à Alexandrie, cette ville permettait d'acheminer en Egypte
    les bois indispensables à la fabrication des bateaux.

    Puis, ce furent les Romains qui y construisirent d'importants
    édifices publics : forum, théâtre, amphithéâtre, odéon
    ainsi que de nombreux temples.

    Ici, l'Odéon de Paphos, prêt pour le spectacle de théâtre satyrique du soir.



     
     
    Mais, ce sont les villas romaines que je vous emmène visiter
    maintenant et plus particulièrement les magnifiques mosaÏques
    qui composaient leur sol et qui ont été dégagées tout à fait par hasard
    à partir des années 60 au cours de travaux de terrassement.


    Elles comptent, à l'heure actuelle, parmi les plus belles
    que l'on puisse voir autour de la méditerranée.


    Tout d'abord, voici celles de la maison de Dionysos qui s'organisaient,
    comme dans toutes les villas antiques,
    autour d'un atrium à ciel ouvert (à gauche sur la photo).
    Une construction les protège actuellement des intempéries.




     
    Jouxtant la maison de Dionysos se trouve la maison d'Aïon,
    découverte en 1983.


     
    Enfin, tout au bout du site, près de la mer, se trouve
    la maison de Thésée, la plus vaste demeure découverte à Chypre,
    sans doute la palais du proconsul romain.




     
    Bon : vous en avez assez des vieilles pierres ?
    Je comprends : pour les apprécier, il faut s'y promener
    au coucher du soleil. C'est magique, surtout quand on est
    presque seuls, comme c'était le cas. Pas de car de touristes,
    juste quelques afficionados tels que nous.



     
    Et si on revenait un peu à la réalité ?

    Paphos, n'est pas une jolie ville à l'heure actuelle,
    juste une imoprtante station balnéaire entièrement moderne et
    défigurée par les antennes satellites et les ballons d'eau chaude...

    Le soleil est néanmoins parfois un complice apréciable pour le photographe.

    Vues depuis notre chambre à l'Hôtel Agapinor.



     
    Au programme aujourd'hui, ce matin de bonne heure,
    la visite du site archéologique des tombeaux des rois à Paphos.

    A l'époque ptolémaïque, une vaste nécropole fut creusée destinée aux dignitaires d'Alexandrie (Chypre était une colonie égyptienne à cette époque) qui portaient le titre de "parent", "cousin" ou "ami" du roi.

    Le site a été classé au Patrimoine Mondial de l'UNESCO.



     
     
    On accède à chacune des sépultures en descendant un escalier.


     
    Certaines paraissent "simples", d'autres doivent correspondre
    à des tombes de personnages de statut social élevé.



     
    Des pigeons y ont élu domicile dans les anfractuosités de la roche...


     
    Bon, on a fait l'archéologie : un peu de nature maintenant.
    Direction Polis et les Bains d'Aphrodite.
    Je vous l'avais dit, celle-ci, elle est partout à Chypre !

    Vue depuis le restaurant




    et si on y faisait un plongeon ?


     
     
    Au fait, les Bains d'Aphrodite, c'est juste à côté dans les terres,
    une petite conque alimentée par une cascade où la nymphe avait pour habitude
    de se baigner nue... (Rien d'extradordinaire à part ça).

    Retour à l'Hôtel en passant par le monastère de Saint-Néophyte.


    Un saint moine né à Lefkara en 1134 y vécut pendant plus de 25 ans.
    Il s'agit d'une grotte qu'il creusa lui-même dans la falaise et qu'il décora
    de fresques murales avec l'aide de ses disciples.
    Le lieu a été aménagé bien sûr et les fidèles y viennent régulièrement y faire une offrande.




     
     
    Philippe à la sortie de la grotte. Il n'y resta pas 25 ans !
    Entre parenthèses, le moine devait être petit...


     
    Une dernière nuit à l'Hôtel de Paphos avec séance "essais de photos de nuit".
    Une seule d'entre elles a réussi l'examen de passage !


     
    Puis, le lendemain, c'est le départ pour Limassol (Lemessos en grec), notre ultime étape.

    En route, arrêt au village de Kouklia (allez, Aphrodite a encore trempé là-dedans !)
    On y rencontre un chypriote fot sympathique qui nous offre de la place à sa table
    et un café et qui me fait la converse pendant une bonne demie-heure...
    Besoin de communiquer le passé : il a perdu ses 4 restaurants au moment de la guerre...

    Au passage, petit cours de grec moderne !




    Nous reconnaissons là l'hospitalité chypriote dont on parle dans les guides. Sympa !

    Mais, je bavarde, je bavarde et nous avons de la route à faire !

    Direction Petra Tou Romiou où nous allons visiter le lieu de naissance de la fameuse nymphe
    et heureusement, comme vous le savez, elle est immortelle donc on n'en parlera plus !


     
    Philippe qui se baigne les pieds : il faut marquer d'une croix cette journée !



    Après les bains de pieds, de très beaux paysages nous attendent.
    Voici l'un d'eux près du village de Pissouri (celui où on s'est fait arnaquer
    avec un avocat trop mur à 6 euros que j'ai refusé de payer... )
    Philippe ne savait pas où se mettre !


     
    Il nous tarde d'arriver à Limassol (Lemessos en grec).

    Alors, des fouilles archéologiques du site de Kourion,
    nous ne verrons au passage que le Sanctuaire d'Apollon.

    Il faut dire qu'il est 15 heures et que notre ami le soleil
    a oublié d'ouvrir son ombrelle...
    Qu'à cela ne tienne, Philippe s'en est trouvée une naturelle !


     
    Abrités sous une belle structure de bois, les thermes romains.
    Vous savez, bains chauds, bains tièdes et bains froids pour terminer.
    Les finlandais n'ont rien inventé avec leurs saunas...



     
    Quelques unes des colonnes du temple d'Apollon ont été restaurées.


     
    Allez, on file sur Limassol par l'autoroute (elles sont gratuites).
    Alors là, on a été déçus : s'inscrire à un autotour culturel et être logés
    en pleine zone touristique, en dehors du centre historique de la ville
    Non Non  et Non !

    Et pour avoir la vue sur quoi, je vous le donne en mille (à l'Hôtel Arsinoé...) ?
    les antennes satellites des HLM voisins
    et en prime le vacarme des clims des locataires !


    Bon : je me calme mais vous avouerez que ce n'est pas top...

    Une journée cool aujourdh'ui : le matin, ballade
    dans notre fidèle voiture dans l'arrière pays.

    Voici quelques images du village de Kalavassos sur la route de Larnaca.


    Oh : la belle plante verte !
    Eh oui, ici, les caoutchoucs sont de vrais arbres...

    et les bananiers n'ont rien à leur envier.

    Allez un dernier monastère : un couvent même, celui d'Agios Minas.
    Le guide dit que l'on peut y acheter des icônes peintes à la main par les religieuses.



    Bon : on est tombés sur une vieille nonne grincheuse...
    On repart donc bredouilles se contentant juste d'avoir d'avoir "volé"
    une photo des icônes de la petite église qui en est truffée...

    Un dernier regard sur les paysages pelés de l'île d' Aphrodite,

    et c'est le retour sur Paris... Dernier petit café oriental à l'aéroport de Larnaca.
     

    Pour en savoir plus sur l'histoire de cette république,
    une petite vidéo de "Reportages"
     
     
    Du tourisme sexuel à Chypre, vous croyez ? Nous, on n'a rien vu...
     
    Et pourtant "Envoyé Spécial" en a fait l'objet d'un tout récent reportage.

    Un vrai réseau mafieux qui attire des jeunes filles d'Europe de l'Est rêvant d'une vie meilleure... De la drogue à la prostitution, il n'y a qu'un pas qui est facile à franchir quand on se trouve piégée...





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  • Pour fêter nos 20 ans d'amitié, Loredana et moi avons décidé de faire un petit tour en Normandie-Bretagne.
     
    L'enfer... C'est (presque) le nom de notre chambre d'hôtes près d'Avranches...

     
    En tout cas, pour trouver Le Grand Moulin Le Comte, ça a été l'enfer ! Un hameau, près du village de Genêts, perdu dans le sud du département de la Manche. Autrement dit, le trou du cul du monde...

    La maison : une ancienne ferme du XVIIIème siècle retapée par un couple d'anglais (Gwen et Alan Harvey) fort sympathiques ma foi.


     
    La cheminée : nous l'avons vue fonctionner en ce 7 juillet 2008 car il ne faisait pas bien chaud en Normandie... (juste 18 degrés en plein midi !)

    Oui, je sais Philippe : un bon reporter se tient toujours à l'affût mais comme je ne suis par encore au top (!), vous voyez donc ici les restes du feu de la veille...


     
    Tout d'abord, sur la route du départ, une petite halte à Villedieu les Poeles, cité du cuivre.



     
    Loredana posant avec le patron de l'atelier devant une fontaine ayant servi au film Vatel (avec Gérard Depardieu).

     

     

    Autre jour, autre virée : en direction de St-Malo cette fois-ci.


     
    Mais... ce n'est pas St-Malo, c'est Fougères !
    (ah oui : j'avais oublié de vous dire que nous avions oublié le GPS de Philippe !)

    Alors, en route donc pour la visite de ce beau château médiéval. 
    une anecdote : notre guide est italienne !



     
    Et Saint-Malo, me direz-vous ?
    Eh bien, nous y sommes allées dans l'après-midi après avoir déjeuné en terrasse (à la faveur d'une petite éclaircie) à Cancale.

    Cancale, ce sont les parcs à huitres...


     
    et les huîtres, on les vend sur le marché.


     
    2 fois moins chères qu'à Paris et je ne vous parle pas de Milan !


     
    Et maintenant, direction : la pointe du Grouin, point de départ de la fameuse Route du Rhum.



     
    De la pointe du Grouin à Saint-Malo, il n'y a qu'un pas et nous le franchissons.

     
    D'abord, un petit tour dans la ville à bord du "petit train"... 
    et puis la visite à pied pour faire le tour des remparts.


     
    Les statues de quatre grands marins nés à Saint-Malo ornent les remparts.

    Voici celle de Surcouf, qui pointe ici son doigt vers l’Angleterre, l'ennemie jurée de la France.


     
    Un petit tour aussi sur la tombe de Châteaubriand, située sur l'île du "Grand Bé" et accessible à marée basse uniquement.


     
    Sur place, une plaque indique : le grand écrivain français a voulu reposer ici pour n'entendre que la mer et le vent.
     
    Passant, respecte sa dernière volonté.


     
    Autre jour, autre tour...

    Eh oui, comme une andouille (on n'est pas loin de Vire...) j'ai loué la chambre d'hôtes pour 4 nuits au lieu de prévoir un itinéraire !

    On ne vient pas en Normandie sans visiter le Mont Saint-Michel...



    et on n'est pas les seules à avoir eu cette idée "sotte et grenue"
    Note à l'intention de Loredana : mauvais jeu de mots français... saugrenu voulant dire loufoque et loufoque voulant dire étrange (!)


     
    Des 2 heures et demie de visite guidée, je ne vous parlerai pas...  et pourtant, ça valait le coup. Voici seulement quelques images.







     
    Suivant le conseil d'internautes échaudés, nous n'avons pas dégusté une omelette onéreuse au restaurant de la mère Poulard...


     
    ce qui ne nous a pas empêchées de manger les plus mauvaises crêpes bretonnes de ma vie... Heureusement, on s'est rattrapées sur les biscuits bretons de la Biscuiterie du Mont !


     
    Une dernière vue sur le Mont, depuis la pointe du Grouin du Sud, toute proche du Grand Moulin Le Comte.

    Regardez la vague : cela s'appelle le mascaret.

    Lors des grandes marées, la rencontre de la marée montante avec le courant descendant d'une rivière fait naître une forte vague qui remonte la rivière à grande vitesse.



    Et pour aujourdh'ui, ce sera quoi le programme ?

    Granville avec la visite de la maison de Christian Dior


     
    Une exposition s'y tient sur le Dandysme


    et le jardin sous la pluie est bien joli


     
    Coutances avec sa  magnifique Cathédrale


     
    la tour lanterne


     
    le chevet


     
    une drôle de gargouille...


     
    Bon, c'est vrai qu'on ne l'a pas vue de nuit mais je ne résiste pas à vous faire profiter de ma découverte sur internet !


     
    Toujours dans le Cotentin, un petit détour par la pointe d'Agon avec un paysage de lande "bretonne".


     
    Le havre de la Sienne croqué ici par Denis Moulin, aquarelliste des bords de mer.


    Nous n'avons pas résisté à faire un petit tour sur la plage.


     
    Avant de repartir, un dernier petit tour dans le Cotentin pour visiter  l'abbaye Sainte Trinité de La Lucerne située dans un véritable havre de paix.

    Déjà 50 ans de travaux pour la remettre en état et encore autant à prévoir
    pour pouvoir y accueillir à nouveau une congrégation.



     
    Un vitrail intéressant n'est-ce pas ?


     
    Rendez-vous dans 50 ans pour voir la fin des travaux !

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  • Je sais : on est inondés de reportages sur le sujet...

    mais il s'agit tout de même de la plus longue prise d'otages français.

    J'ai, tout comme vous sûrement, parcouru le net
    et je vous livre
    le nom d'un site qui m'a permis de mieux comprendre
    l'engagement de cette femme admirable.
    Il faut taper www.modem76.com/article-18593144.html

    Prenez le temps de visionner ces 4 petits reportages.
    C'est très bien expliqué.


    Pour ne pas oublier





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