• ou bonne année du boeuf de terre si vous préférez.

    Bien sûr, La Poste n'a pas manqué l'événement.


    Chic : c'est notre année à tous les deux !
    Si vous voulez savoir sous quel signe chinois vous êtes né, cliquez ici.

    Mais pourquoi donc l'an 4707 ?
    Ce dessin de Martin Vidberg  mérite quelques explications.



    Selon le calendrier de l'empereur Jaune Huang-Ti, considéré comme le père de la civilisation chinoise, nous sommes aujourd'hui en l'an 4707.

    En effet, celui-ci a été conçu en l'an -2698.

    Faites le calcul : -2698 + 2009 = 4707 : c'est tout simple !

    Mais revenons à nos moutons...
    (pardon : à notre buffle !)

    Quelques rappels concernant cette fête.


    Le premier jour du mois lunaire ("Yan Dan") se situe entre le 20 et le 18 février.
    En Chine, c'est la plus grande fête de l'année. La fête du renouveau ("Guo Nian")
    est associée à une période de congés, de rassemblements familiaux, de mariages
    et de nombreuses réjouissances. Elle dure en principe 4 jours, c'est l'occasion
    de défilés grandioses un peu partout dans le monde mis en scène
    par la diaspora chinoise (1,3 milliard de Chinois).

    Une fête sur plusieurs jours

    Le nouvel an chinois est précédé d'une période préliminaire qui commence
    au solstice d'hiver
    , période où les maisons doivent être nettoyées
    de fond en comble afin de chasser les malheurs de l'année écoulée
    et des offrandes sont données au dieu du foyer. Ces dernières consistent
    en des plats et du vin accompagnés de sucreries sensées lui coller la bouche
    de manière à ce qu'il ne puisse pas dénoncer la famille à l'empereur céleste lorsqu'il ira rendre compte de ses actions lors de son prochain voyage de 4 jours.

    La veille du nouvel an, tout est entrepris pour obtenir les meilleures augures

    pour la nouvelle année. S'opère alors le rituel du "Cinian" ("prendre congé de l'année") par lequel on rend hommage aux ancêtres avec de l'encens, des offrandes

    et des prières et où l'on rend visite aux amis et aux proches pour leur souhaiter

    une bonne année. Vient ensuite la préparation du banquet du nouvel an proprement dit. Des emblèmes porte-bonheur sont accrochés à l'entrée des maisons, les magasins étalent leurs marchandises avec profusion et à prix bradés.

     Le jour du nouvel an, le banquet, qui était réservé exclusivement à la famille la veille au soir, s'ouvre aux amis. Le menu est copieux et les mets variés exigent une longue préparation. Les deux spécialités culinaires du nouvel an chinois sont les raviolis "Jiaozi" et le gâteau "Niango". A la fin du repas, les parents donnent des étrennes aux enfants dans une enveloppe rouge.

     Enfin, durant cette journée du nouvel an, ne cessent de résonner les pétards qui canardent la ville pour chasser les mauvais esprits. Cette tradition est très prisée par les chinois : à Pékin cette année près de 400 000 caisses d'explosifs (pétards et feux d'artifices) ont été apprêtées pour l'occasion, soit trois fois plus qu'en 1993.

     Cette période de festivités se clôture définitivement 15 jours plus tard lors de la fête des lanternes où l'on accroche des lampions multicolores à la tombée de la nuit de pleine lune.

     Chaque année sous le règne d'un animal

     Le calendrier chinois est placé chaque année sous l'aune de l'un des 12 animaux qui se sont présentés jadis devant le Bouddha avant sa disparition.

    Il s'agit du Buffle, du Rat, du Tigre, du Chat, du Dragon, du Serpent, du Cheval, du Chien, du Singe, du Coq, du Chien et du Cochon. Chacun d'eux symbolise un caractère comme par exemple la sagesse pour le Singe. Ils sont également associés à l'un des 5 éléments (Ciel, Terre, Eau, Feu, Métal). Le cycle complet dure 60 ans.

    Nos prénoms en signes chinois !

     

     

     

     

    Philippe                                                          Claire



    Vous voulez voir votre prénom "traduit" en chinois ? Cliquez ici. 

    Les Chinois portent un nom de famille composé généralement d'un seul ou deux caractères comme Su ou Sima.

    Le prénom est en général composé de deux caractères qui désignent deux prénoms.

    L'un appelé "Ming" ou prénom d'enfance est donné par le père quand le bébé a trois mois et seuls les intimes comme les parents l'utilisent. L'autre appelé "Zi" ou prénom social est attribué plus tard et est utilisé par les connaissances et les amis.

    Le choix du prénom : une dimension symbolique

    Dans la tradition chinoise, le choix du prénom détermine le destin de celui qui le porte. A la différence de l'Occident, un prénom chinois ne figure pas parmi une liste. Le prénom est, en Chine une création ex nihilo pour tel ou tel enfant. Ce sont les parents, ou une personne compétente et habilitée par eux, qui choisissent le prénom de l'enfant. Dans le choix des mots entrent en jeu tous les éléments composant les sinogrammes qui doivent être pris en compte : l'aspect phonique, l'aspect sémantique et l'aspect graphique, dans leurs relations avec l'autre mot qui forme le prénom, mais aussi avec le nom de famille. La création d'un prénom répond aussi à des objectifs clairs que sont la réussite dans les études et dans la vie professionnelle, une bonne santé et la fortune. Il ne faut pas oublier non plus d'assurer la continuité et la prospérité du lignage.

    Les prénoms chinois féminins

    Dans la culture traditionnelle chinoise, la femme doit être douce, décorative, belle et aimable. Ainsi les prénoms féminins comportaient un terme relatif à la composition, à l'expression, aux fleurs, aux oiseaux ou encore aux bijoux. On y retrouvera les mots ting (gracieuse), mei (enchanteresse), hua (fleur), feng (phoenix), huan (anneau), yin (argent) et yan (magnifique). Aujourd'hui, on donne en Chine des prénoms proches des prénoms masculins pour évoquer des qualités de caractère et de détermination.

     Les prénoms chinois masculins

    De leur côté les prénoms masculins font référence à l'un des ancêtres, à une connotation militaire ou à la virilité. Par exemple, shaozu (faites honneur à nos ancêtres), zhenbang ( rajeunir le pays), gang (acier), zhijiang (esprit ferme) et jinsong (pin droit). Mais les prénoms chinois peuvent aussi exprimer les souhaits et les espoirs de la famille du père par des noms tel Ren Youcheng (réussite).


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  • Après-midi parisien ce dimanche :
    les grands boulevards plus précisemment, pour aller applaudir
    "les étoiles de Saint-Pétersbourg" au Grand Rex.



    Sur le panneau historique de la Ville de Paris de la rue Poissonnière,
    on apprend que le nom de la rue provient de ce que
    la marée des ports du Pas-de-Calais passait par ici.



    L'enceinte du Charles V puis de Louis XIII s'ouvrait par la porte Sainte-Anne
    (ou de la Poissonnerie) et, en 1726, une inscription signalait ici la limite de la Ville.

    Haut lieu des plaisirs et des spectacles, le boulevard Poissonnière
    fut choisi en 1932 pour édifier le cinéma Rex, un des plus grands d'Europe.

    Conçu par l'architecte décorateur Auguste Bluysen
    en collaboration avec l'ingénieur John Eberson,
    sa façade est l'oeuvre du sculpteur Henri-Edouard Navarre,
    et la décoration de la salle ( de 3300 places à l'origine et de 2800 actuellement),
    qui marie l'Antiquité à l'Art Déco, est due à Maurice Dufrène.


     


    L'ensemble " Highlights de Saint-Petersbourg " crée en 1995
    est composé d
    e 12 chanteurs, 11 musiciens et 12 danseurs.


    Leur nouveau spectacle « Kalinka » propose de faire vivre au public,
    à l'aide de tableaux vivants, dans la grande tradition des spectacles "à la russe",
    300 ans de la vie de Saint-Petersbourg, LA capitale des Tsars de l’Ancienne Russie.


    Sur scène sont évoquées les fêtes fastueuses, les danses de séduction, les mariages,
    la vie quotidienne et beaucoup d’autres moments intenses de la tradition slave.


    Les Étoiles de Saint-Petersbourg scintillent dans leurs costumes
    de tradition ukrainienne, juive, tzigane, cosaque…


    Le ballet évolue sur des musiques traditionnelles
    et des chants du grand repertoire russe.


    La compagnie se produit dans les grandes villes
    de Russie mais aussi dans la plupart des métropoles européennes.
     


    A la Russe !



    Petit clin d'oeil à la France


    Le manège des rubans



    Chouettos, non ?

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  • Hier soir, promenade sur les Champs Elysées en direction du Studio Gabriel où est diffusée en direct, l'émisssion culturelle hebdomadaire de Pierre Lescure, l'ancien PDG de Canal+,

     
     
    "Ca balance à Paris"
    diffusée le samedi soir sur Paris Première.
     


    Devant le Pavillon de l'Elysée : c'est chouette Paris, non ?


     
    Les bassins du Rond-Point des Champs-Elysées sont gelés...



    Le Pavillon Gabriel et, à droite, le studio du même nom. L'endroit est toujours super surveillé par la police car il est situé jute à côté de l'Ambassade des Etats-Unis...

     
    Dans le hall, une immense photo et les autographes de toutes les personnalités
    ayant été invitées aux trois émissions produites par Michel Drucker
    (Ripostes sur France 5, Vivement Dimanche sur France2 et Ca balance à Paris sur Paris Première).




    et le studio aménagé pour l'émission du soir. Au plafond, quelques projos...


     
    Au fond : c'est là que Sébastien, l'homme à tout faire (celui à qui l'on confirme son inscription par téléphone et qui place les invités), nous a fait asseoir... pour qu'on ne voie pas la chemise à carreaux de Philippe.
     
    Pas de pot : la prochaine fois, je veillerai à ce qu'il mette de l'uni !



    Par ailleurs, nous, nous avions des dossiers,ce qui n'était pas le cas de tout le monde !
    Certains spectateurs ont même été invités à s'asseoir dos aux invités,
    quitte à prendre une posture décontractée pendant l'enregistrement de l'émission.



     
    C'est tout ce que vous verrez de l'émission... (le direct interdit les photos) qui réunissait plusieurs chroniqueurs de renom, tels que Philippe Tesson, Elisabeth Quin, Thomas Hervé ou encore Géraldine Maillet.

    L'émission passe en revue l'actualité culturelle de la semaine : Livres, films, spectacles.

    Nous avons ainsi pu écouter les avis des uns et des autres sur :
     
    ► le livre de Philippe Sollers "Les voyageurs du temps" publié cette semaine chez Gallimard et dont je sais définitivement que je ne me risquerai pas à la lire (!),

    ► et le film "Che l'argentain" de Steven Soderbergh
    que nous irons probablement voir bientôt.


    Invités surprises : Philippe Sollers donc pour son livre Nietchéen très controversé.


     
    Christophe Alévêque que l'on ne présente plus...
    (beau mec tout de même !)


     
    et Laurent Lafitte qui se produit en ce moment au Petit Palais des Glaces. Un humoriste qui monte apparemment et dont on nous a fait de très grands éloges.
    (la critique était unanime)


     
    Le voici, à la fin du spectacle, en chair et en os.

     
    En train de discuter ici avec Christophe Alévêque à droite. Géraldine Maillet de dos, à gauche (donc vous ne saurez pas quelle tête a cette chroniqueuse autrefois top model)..., Pierre Lescure et Thomas Hervé. Philippe Tesson, le plus connu, pas de pot non plus : il est aussi de dos !

    Il va falloir s'enhardir, Philippe, si tu veux percer dans le dur métier de reporter photos...



    Bref, une sortie sur Paris bien intéressante : à refaire à l'occasion !

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