•  Ce dimanche, c'était la clôture du Festival de Jazz qui se tient tous les étés au Parc Floral de Paris qui, comme son nom ne l'indique pas... est situé à Vincennes près du bois.

     Concert Parc floral Affiche-copie-1

      D'un coup de voiture, nous y sommes : reste à se garer et là, c'est une autre paire de manches car on dirait bien que tout Paris s'est donné rendez-vous ici pour profiter des rares rayons de soleil que nous octroie cet été pourri...

    Le Festival se tient dans l'Espace Delta constitué d'une salle à ciel ouvert.

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    Plus sérieux qu'André : le Pape peut-être ?...

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    La salle, vide à notre arrivée, ne tarde pas à se remplir de mélomanes avertis dont certains ont sûrement suivi tout le festival : 5 euros l'entrée du parc en période de concerts, ce serait dommage de s'en priver ! (et le Festival dure plus d'un mois...)

    Je vous l'ai bien dit que Paris c'est extra !

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     Au programme de l'après-midi, un concert du quatuor à cordes Jean-Philippe Viret que nous découvrons avec bonheur. En plus de Jean-Philippe Viret à la contrebasse, il y a aussi Eric-Maria Couturier au violoncelle, Sébastien Surel au violon et David Gaillard à l'alto. Tous sont des musiciens confirmés qui jouent en France et à l'étranger dans les plus grandes formations : Jean-Philippe Viret a joué dans l'orchestre de Stéphane Grapelli pendant 8 ans et se consacre maintenant au trio qu'il a formé, Eric-Maria Couturier est soliste à l'Ensemble intercontemporain sous la direction de Pierre Boulez, Sébastien Surel, après avoir joué dans l'Orchestre Philarmonique de Radio France privilégie maintenant une carrière dans la musique de chambre et David Gaillard lui est premier alto solo à l'Orchestre de Paris.

     De gauche à droite : David Gaillard, Jean-Philippe Viret et Eric-Maria Couturier

     Concert Parc Floral David Gaillard, Jean-Philippe Viret et

     Sébastien Surel au violon : un virtuose de l'archet

    Concert Parc floral Sébastien Surel

     Au programme (composé par Jean-Philippe Viret) :

     Justice ; Esthétique ou Pathétique ? ; Le rêve usurpé ; Un arrangement d'une partition de François Couperin (Les barricades mystérieuses) par Jean-Philippe Viret ; Coalescence ; Un morceau en hommage a peintre espagnol Pierre Daura.

     J'ai adoré la variété et la couleur des compositions ainsi que la large utilisation des divers instruments (archets, coups sur la caisse, pizzicato).

    Le temps passe vite en si bonne compagnie : un rapide tour dans le parc, le temps d'apercevoir les plantes méditerranéennes.

     Concert Parc floral Serres tropicales

     et le jardin aux papillons avec des bestioles bien curieuses...

    Un phasme

    Concert Parc floral Un phasme

     Une grande tortue

    Eh non je ne déraille pas, il s'agit bien du nom de ce papillon !

     Concert Parc floral La grande tortue

     Cet autre, c'est le tabac d'Espagne.

    Concert Parc floral Le tabac d'Espagne


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  •  Une expo sition originale à la BnF , celles des estampes japonaises du peintre français Paul Jacoulet. L'artiste, né à la fin du XIXème siècle ou au début du XXème a vécu toute sa vie au Japon. Sa date de naissance est floue : de santé fragile, il est soupçonné d'avoir pris l'identité de son frère mort-né en 1904 pour échapper à la conscription lors de la déclaration de guerre). Il décède en 1960, laissant derrière lui une oeuvre importante (166 bois gravés et plus de 3000 aquarelles et dessins).

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     L'exposition présente 70 estampes de grand format, dons de sa fille adoptive Thérèse à la BnF ainsi que plusieurs matrices en bois, gravées à la demande de l'artiste par des artisans de talent en vue de leur impression.

    Il tire son inspiration du Japon où il réside depuis son enfance, de la Corée où il séjourne également avec ses "parents adoptifs" (ceux de son compagnon) et de la Chine qu'il connait par l'Opéra de Pékin et qui le fascine. Ayant séjourné en Micronésie (archipel du pacifique) pour raisons de santé, il en rapporte des milliers de croquis qui lui ont servi par la suite à créer des estampes ainsi qu'une grande collection de papillons !

    Il peint les populations, de la geisha aux gens du peuple, et s'inscrit ainsi dans la tradition de "l'ukiyo-e" qu'il cherche à perpétuer, la gravure sur bois polychrome : "école du monde vivant ou de la vie vivante ou de la vie telle qu'elle se passe sous nos yeux, ou de toutes les choses que nous voyons etc...".

     Danse d'Okesa (Japon)

    Paul Jacoulet Danse d'Okesa, Sado Japon 1952

    Les graines de Camélia (Oshima, Izu Japon)

    Les-graines-de-camelia-Oshima-Izu-Japon.jpg

     Vent du nord (Corée)

     Paul Jacoulet Vent Du Nord, Corée

     Nuit de neige en Corée

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    Trois coréens

     Paul Jacoulet Trois Coreens

     Les deux adversaires (Corée)

    Les-deux-adversaires--Coree-_modifie-1.jpg

     Le nautilus (Yap - Micronésie) Une influence évidente de Gauguin

     Paul Jacoulet Le Nautilus

     Averse à Metalanim (Micronésie)

    Paul Jacoulet Une averse à Metalanim en Micronésie

    C'est la première exposition de Paul Jacoulet en Europe : bravo la BnF !


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  •  La Mairie du 13ème organise cet été des séances de cinéma en plein air. Vous allez sûrement me dire "parce qu'à Paris, c'est l'été ?" Et bien disons que c'est le mois de juillet ! Ce samedi, c'est au square Paul Grimault, tout près de chez nous, que se tient la séance. Un écran géant y a été dressé et des chaises longues sont distribuées aux spectateurs en échange de leurs papiers d'identité. Evidemment, j'en prends une ! Une petite cinquantaine de riverains ont pris place dans les chaises longues et attendent patiemment le début des festivités prévu pour 22 heures.

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     22h30 : l'opérateur est prêt.

    Action !

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     Après un court métrage qui ne m'embale pas et d'assez mauvaise qualité, entr'aperçu sur l'écran trop éclairé par les réverbères, la soirée commence vraiment avec le film de Géraldine Nakache et Hervé Mimran "Tout ce qui brille".

     Tout ce qui brille - Affiche

     Lila et Ely sont deux jeunes banlieusardes...

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     Pendant le premier quart d'heure, je n'accroche pas trop mais je persiste néanmoins et bien m'en prend car au final j'ai beaucoup aimé ce premier film.   La suite, c'est par la critique de Critikat.com (site que je consulte régulièrement pour me tenir informée de l'actualité cinématographique et auquel j'adhère en général) que vous la connaîtrez. Eh non : il n'y a pas que Télérama qui fasse de bonnes critiques !

     Il était une fois Géraldine Nakache, duchesse d’Aquitaine dans la série Kaamelott (Alexandre Astier, 2005-2009) et copine sympa dans Comme t’y es belle (Lisa Azuelos, 10 mai 2006). Dans son coin, l’actrice débutante écrivait un scénario : l’histoire de deux filles de banlieue rêvant de briller dans les soirées parisiennes. Comme Géraldine était peu aguerrie en matière d’écriture et de réalisation, elle sollicita l’aide de son ami Hervé Mimran, co-scénariste de Comme t’y es belle. Il ne restait plus à la jeune femme qu’à rencontrer la lumineuse Leïla Bekhti, avec qui elle allait former un duo à la fois comique et sensible. Ainsi devait naître la jolie surprise que constitue Tout ce qui brille.

     Pour Ely (Géraldine Nakache) et Lila (Leïla Bekhti), la vie dans leur cité de Puteaux n’a rien de triste ou de glauque : pas d’émeutes, pas de trafic de drogue, pas d’armes, pas de règlements de compte, pas d’affrontements entre filles et garçons, même pas de jalousies… Aucune des facettes des cités montrées par le cinéma sur la banlieue ces vingt-cinq dernières années. Entre les barres du grand ensemble baigné de soleil, la vie s’écoule tranquillement, trop tranquillement. Ely vient de perdre son emploi et de retrouver l’exiguïté de l’appartement familial. Lila vend du pop-corn dans un cinéma et vit avec sa mère, qui attend en vain le retour d’un homme parti au bled refaire sa vie avec une autre. Mais les deux copines ne se soucient guère de leur avenir professionnel et n’envisagent pas de travailler pour s’élever socialement. Pour elles, leur promotion passe par une vie nocturne trépidante dans la capitale et des retours matinaux dans une cité où l’on ne fait que dormir avant la prochaine virée. Armées de leurs talons aiguilles et de leurs it-bags, Ely et Lila se mêlent sans problème au jeune gotha parisien. Elles se lient ainsi d’amitié avec Agathe, créatrice de mode et Joan, mannequin. Les deux filles de banlieue vont utiliser ces femmes autant que celles-ci vont profiter d’elles, loin d’être dupes des mensonges de ces Cendrillons modernes. À trop vouloir approcher la lumière aveuglante de la superficialité, Ely et Lila vont se brûler les ailes, prenant en pleine tête les limites de leur identité sociale. Que l’une ait grandi dans une famille de culture juive et l’autre de culture musulmane n’a aucune importance. Les deux héroïnes de Tout ce qui brille s’inclinent seulement devant le Dieu de la consommation ! De La Haine (M. Kassovitz, 1995) à Comme un aimant (K. Saleh et Akhenaton, 2000), le cinéma nous a montré la frustration de garçons de banlieue face à une société de consommation, dont leur condition sociale ne leur permettait pas de profiter pleinement. À l’opposé de cette logique victimaire, Ely et Lila ont dompté à leur façon les règles du capitalisme et de la mondialisation. Elles se ruinent pour partager une même paire de chaussures de créateur, plutôt que de se priver de ce luxe. Heureusement, le film évite de porter un regard moralisateur sur la futilité et le matérialisme de ses personnages, échappant au risque d’un propos démagogique. Il se concentre sur la relation exceptionnelle, voire passionnelle, de deux êtres fragiles dont le salut réside dans une affection réciproque et sévèrement mise à l’épreuve. Les deux réalisateurs réussissent ainsi une comédie à la fois légère et intelligente. Géraldine Nakache et Leïla Bekhti parviennent à susciter une empathie sincère pour ces personnages de post-adolescentes en quête de reconnaissance sociale. Si le rôle de Lila offre à Leïla Bekhti quelques moments d’émotion (un registre qu’elle maîtrise bien), le film culmine dans les scènes de pure comédie. L’équipée comique est complète quand Ely et Lila sont accompagnées de leur copine Carole (Audrey Lamy), professeur de sport au débit de parole frénétique et d’une sincérité désarmante. La qualité de ce premier film réside dans l’efficacité de ses dialogues. Il n’est pas étonnant de lire dans le dossier de presse que Géraldine Nakache « voue un véritable culte au film La Haine de Mathieu Kassovitz », puisque Tout ce qui brille recycle clairement le verbe kassovitzien. Lila taxe Ely de « meuf en carton ! », comme en écho au « juif en carton » de Saïd à son copain Vinz dans La Haine. Mais au-delà du simple clin d’œil, l’écriture des dialogues recherche une même vivacité de langage. Ainsi les filles recourent au running gag verbal qui consiste à ajouter « c’est toi » au dernier mot prononcé par son interlocuteur, un tic langagier caractéristique de l’humour du deuxième film de Kassovitz :

    La Haine – Dans la cité

    Vinz : T’as vu la vache ?

    Saïd : C’est toi la vache !

    Tout ce qui brille – Sur un pont parisien

    Lila : Tu sais même pas qui c’est Fanny Ardant !

    Ely : C’est toi Fanny Ardant !

     Loin des préoccupations des personnages de Kassovitz, Ely et Lila ont cependant les mêmes réflexes de communication. Dans les deux cas, le langage tourne en rond comme pour venir concrétiser l’enfermement des personnages. Les deux filles ne trouvent pas

    davantage leur place dans l’univers parisien que Vinz, Saïd et Hubert en leur temps, même si leurs aventures sont cette fois-ci bien plus sages et bien moins fatales.

     Certains relègueront Tout ce qui brille au « film de filles », rebutés par la débauche de sacs et de brillants à lèvres de ces princesses des cités. Mais le film interroge de façon intéressante l’identité féminine, dans une société où les magazines véhiculent l’image d’une féminité hyper-lookée et où les sites people traquent quotidiennement le moindre « fashion faux pas » de vedettes en tous genres. À revers de cette féminité sophistiquée, le prologue de Tout ce qui brille nous montre le corps féminin dans toute sa liberté. Les cheveux mal attachés, vêtues de survêtements, Ely et Lila imitent avec décontraction les stars féminines qui occupent tant les médias people. Les deux jeunes femmes moquent une féminité ostentatoire, qui ne cessera pourtant de les attirer et de les fasciner tout au long du film. Sur le ton de la comédie, Tout ce qui brille engage finalement à la réflexion sur le conditionnement culturel d’une génération de filles matraquées d’images et de propos contradictoires sur l’idée d’une féminité libérée.

     La critique est signée Carole Milleliri

     


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  •  Un temps plus que maussade pour ce week-end prolongé en Touraine... Mais il en faut plus pour nous décourager d'aller visiter le Futuroscope à Poitiers qui n'est qu'à une heure et demie de route de Continvoir où nous séjournons depuis la veille chez mon amie Michelle.

    Futuroscope-logo2007

    Un robot marque l'entrée du parc.

     Entrée avec robot

     Le parc de 50 hectares abrite une vingtaine d'attractions appelées "expériences" au sens de "tout ce qui est appréhendé par les sens et constitue la matière de la connaissance humaine". Une tour panoramique ou gyrotour permet d'en avoir une vue d'ensemble. Notre programme, très chargé, ne nous a pas permis de l'expérimenter... mais voici quelques vues prises depuis le plancher des vaches !

     Vue d'ensemble 2

     Jets d'eau 1

     Vue d'ensemble 1

     Notre visite commence par le Pavillon de la Vienne où nous vivons, installés dans des fauteuils mobiles munis d'une barre de sécurité..., des instants très dynamiques nous faisant découvrir le département de la Vienne : attachez vos ceintures !

     Michelle, Nicole, Françoise et Philippe

     Lorànt Deutsch nous emmène ensuite dans les étoiles pour l'attraction intitulée "Chocs cosmiques". Nous nous installons cette fois-ci dans des fauteuils fixes orientés vers un dôme figurant la voûte céleste pour assister au big bang ayant donné naissance à la vie sur terre.

    s

    Nous continuons notre visite par l'Imax 3D où nous assistons à la projection d'un film intitulé "Astromouches" : un dessin animé en 3D dont les héros sont 3 mouches ayant décidé de squatter le casque d'un astronaute pour participer à l'aventure spatiale d'Appolo 11. un petit film plein d'humour et de tendresse.

     Astromouches-1-copie-1.jpg

     Les parents attendris regardent leurs progénitures entrer dans l'histoire...

     Astromouches-2.jpg

     Sur notre chemin, le V-173 ou "crêpe volante" : pas d'ailes sur ce modèle d'avion américain des années 40 à décollage vertical.

     Le V-173 ou la crêpe volante

     Nicole Françoise Philippe et Michelle devant la crêpe vol

     Le Kinémax est un cristal de quartz géant où l'environnement se reflète.

    Nous y avons vu, entre deux endormissements, un film sur Van Gogh...

     Le restaurant cristal

     Les vitres de ce pavillon sont nettoyées tous les 2 ans par des alpinistes professionnels.

     Le cristal

     Dans le parc, des sculptures de Jean-Louis Toutain sont exposées actuellement.

     Sculpture de Jean-Louis Toutain 3

     Sculpture de Jean-Louis Toutain 2

     Nous voici maintenant embarqués à nouveau dans une attraction dynamique... Elle a pour nom "EcoDingo" ! Passage au travers des ailes d'une forêt d'éoliennes, circulation à grande vitesse dans un canyon ou parmi les buildings de New York : vous n'avez pas le choix, il faut aller jusqu'au bout de l'aventure. 1'04 de frisson et de rire assurés !

     

    Allez, continuons dans le dynamique : ça procure des sensations. Direction "Arthur, l'aventure 4D". Vous l'aurez compris, nous allons entrer dans le monde microscopique des Minimoys : il s'agit d'une nouveauté 2011 qui a demandé 2 ans de travail aux ingénieurs et aux décorateurs, sous la direction même de Luc Besson.

     Pavillon Arthur

     Mais pour cela, il nous faut être patients car l'attraction est très courue. La queue circule au sein du jardin de la grand-mère d'Arthur et nous voici rapetissés à la taille des coquelicots !

     Philippe Nicole et Michelle en minimoys

    Philippe, fan d'Arthur, a insisté pour que je le prenne en photo avec Bétamèche...

     Philippe et Bétamèche

     Et maintenant une autre nouveauté 2011 : l'expérience en Imax 3D "Monstres des mers" produite par National Geographic qui se passe dans le "Solido", une sphère de 33 mètres de diamètre dont la moitié est occupée par l'écran et l'autre par les gradins . A nos lunettes ! Nous y faisons connaissance avec les dinosaures marins qui vivaient il y a 82 millions d'années... Dommage que la mise en scène présentant un "dolichorynchops" poursuivi par un dinosaure soit accompagnée d'un commentaire vraiment infantilisant !

     Un "doli" pour les intimes, en images de synthèse bien sûr

     dolichorhynchops-ga.jpg

    Il ne manquait à cette intéressante visite que le soleil... 

    (un temps idéal pour aller dans les "salles obscures" en fait !)


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  • Ce vendredi, nous n'étions pas moins de 7 choristes à aller écouter le "Duo Gabriel Vallejo Pierre-Marie Bonafos" à la Maison de l'Amérique latine dans le Faubourg Saint-Germain. Un très beau lieu que je me propose de visiter plus en détail une autre fois. En fait, il s'agit bien sûr dans ce quartier d'un Hôtel particulier... (en fait, deux hôtels réunis : l'Hôtel de Varengeville et l'Hôtel Amelot de Gournay, tous deux construits au début du  XVIIIème siècle). Une exposition s'y tient en ce moment dans la cour ovale, celle du sculpteur mexicain Juan Soriano.

     Concert Gabriel et Pierre-Marie Maison de l'Améri-copie-1

     Mais revenons à notre objectif.

       C'est dans l'auditorium que se tient le concert.

     Auditorium.JPG

     Je vous invite à suivre ce lien pour faire la connaissance des deux musiciens.

     Gabriel Vallejo au piano et Pierre-Marie Bonafos à la clarinette

     Concert Gabriel et Pierre-MarieLes 2 musiciens

     Gabriel à la guitare à 12 cordes

      Concert Gabriel et Pierre-Marie Gabriel à la guitare

     Pierre-Marie au saxophone soprano

     Concert Gabriel et Pierre-Marie PM à la clarinette basse

     Allez, vous êtes partants pour un petit tango ?

     Ca tombe bien j'en ai juste un sous la main...

     Eh oui, il en manque un bout...

     Si vous voulez écouter la fin, il faudra acheter le disque !

     Ce que je vous conseille.


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