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Nous aimons, vous aimez...
Le choix d'un lecteur de la Bibliothèque Glacière : Les loups à leur porte de Jérémy Fel
La figure du prédateur est au centre de cet excellent roman noir, où chaque chapitre est la pièce d'un puzzle sanglant que le lecteur reconstitue. Plaisir de lecture garanti.
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J'ai adoré ce livre et pourtant je ne suis pas spécialement fan de sensations fortes...
L'auteur, Jérémy Fel, dont c'est le premier roman le présente ici.
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Ce lundi nous sommes allés à Sciences Po Paris : nous étions conviés à assister au bilan annuel de la campagne créée par l'association la "La Sauvegarde de l'Art français" et intitulée "Le Plus Grand Musée de France", un rapport présenté par quelques uns des étudiants en Master de Sciences Po.
38 étudiants de tous les campus ont en effet battu la campagne durant toute cette année pour répertorier des oeuvres d'art en danger et lever des fonds pour les restaurer.
C'est au 13 rue de l'Université que crèche la Grande Ecole parisienne.
Dans le hall d'entrée, des panneaux présentant les sept oeuvres d'art élues par les étudiants.
De gauche à droite...
► Une paire de bénitiers de la cristallerie de Daum
par le Campus de Nancy► Un tableau de Jean-Joseph Enders représentant l'incendie de la Cathédrale
par le Campus de Reims► Un tableau de Léon Viardot représentant le Christ et la Samaritaine
par le Campus du Havre► Un tableau de Jean Tassel représentant la présentation de la Croix à l'Enfant Jésus
par le Campus de Dijon.C'est ce dernier tableau qui nous intéresse particulièrement puisqu'il s'agit d'un tableau situé dans le chœur de la Chapelle Sainte-Anne à... Courcelles !
L'événement a fait l'objet d'un article dans le journal local, le Bien Public, le 24 mai 2016.
Le tableau
C’est une huile sur toile, intitulée Présentation de la Croix à l’Enfant Jésus. Elle date du deuxième quart du XVIIe siècle. Il est signé par le Langrois Jean Tassel (1608-1667) et est classé au titre des Monuments historiques depuis 1971. Il serait abrité par la chapelle depuis sa construction, en 1744.
Son anonymat
« Beaucoup de gens ne l’ont jamais vu, même des habitants du village, c’est dommage », soupire Martine Germain. « Il est caché par une croix et la chapelle est tout le temps fermée. Il n’y a un office qu’environ une fois par an. »
Sa restauration
« Il a besoin de retouches », indique Martine Germain. Des retouches qui coûteraient 10 000 €.
« Le projet est très intéressant, on ne peut qu’y être favorable » déclare Florence Bauer, Maire de Montliot et Courcelles, « mais le souci est financier : on espère que les jeunes réussiront à lever les fonds nécessaires à la restauration de ce tableau. »
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On espère aussi, regrettant seulement que la Mairie du village n'ait pas versé, ne serait-ce qu'une petite somme symbolique...
In situ : il est vrai qu'il n'est pas vraiment mis en valeur.
Retour à Sciences Po : derrière les panneaux, un buffet attend les participants.
On peut y apercevoir les oeuvres des deux autres Campus à participer à l'opération de sauvetage.
► Celui de Paris
qui s'est chargé de récolter les fonds nécessaires à la restauration de l'adoration des bergers d'un artiste inconnu► Celui de Poitiers
qui, lui, a pris en charge la restauration de Saint Jean-Baptiste dans le désert d'un artiste inconnu.Les étudiants animateurs des sept Campus
Olivier, Miléna, Laëtitia, Nicolas, Maxime, Eeva et IsabelleJuste derrière le hall d'entrée, les étudiants travaillent face à un joli jardin.
Autour d'un puits de lumière, de petites salles de travail
La conférence a lieu dans un petit amphi : c'est Laëtitia Fabaron, animatrice du Campus de Dijon, qui présente les résultats de la campagne de restauration.
Elle est ici debout en compagnie de ses collègues.
Olivier de Rohan Chabot est le Président de l'association "La Sauvegarde de l'Art français".
Guillaume Kientz, lui, est l'un des conservateurs du Musée du Louvre.
Du beau monde s'il vous plait !
Les étudiants du Campus de Dijon ont déjà récolté plus de 40000 euros pour l'ensemble des oeuvres et plus de 5000 euros pour le tableau de Jean Tassel (il en manque encore 5000...).
Une petite photo par une photographe professionnelle de toute l'équipe impliquée dans ce beau projet
J'en profite pour en faire un double !
Avec Laëtitia Fabaron qui a gentiment accepté de poser avec nous, les deux seuls donateurs de Courcelles..., devant le tableau de Jean Tassel.
Une petite vidéo de France 3 Bourgogne qui explique le choix de l'oeuvre par les étudiants.
Souhaitons bonne chance à tous ces étudiants dans la suite de leurs études !
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A Générations 13, je me suis inscrite à un atelier de dessin depuis quelques semaines. En passant un peu par hasard j'y avais vu en effet une exposition sur les murs de l'Association et j'avais trouvé ça sympa.
Quand j'ai eu mon bac, aimant déjà beaucoup le dessin, j'avais eu envie de m'inscrire aux Beaux Arts mais au final j'avais renoncé, me disant que c'était la porte ouverte au chômage : manque de chance en Biologie à l'époque c'était kif kif bourricot...
L'atelier a lieu le mardi après-midi et il dure deux heures. Si on n'a pas fini, ce qui est souvent mon cas, on continue la fois d'après ou alors en prenant une photo, chez soi.
On s'y retrouve entre collègues : les unes font de l'aquarelle, les autres de la gouache, d'autres encore du pastel et moi j'ai commencé par le crayon de papier.
Célia, la bénévole qui encadre l'atelier, m'a dit d'acheter différents crayons (HB,2B, 6B, 2H et 6H). Il y a un Géant des Beaux Arts juste à côté de chez nous et je m'y suis fournie.
Mon Dieu, comment s'y reconnaître dans tous ces crayons... ?
Célia m'a donné quelques indications (la mine grasse (B) ou dure (H) et les numéros allant en croissant selon qu'on veut accentuer ou diminuer le trait...) et me voici partie pour dessiner cette cruche en grès.
La fois suivante, je me suis attaquée à ce pot en étain accompagné de jolis "amours en cage".
Cette semaine, c'est une coupe de fruits qui m'a inspirée.
Célia m'a appris à réfléchir à un fond afin que les natures mortes ne flottent pas sur la page et c'est vrai que ça fait tout de suite mieux.
Je m'éclate littéralement en dessinant !
L'intérêt de cette activité, c'est qu'elle permet de papoter : on discute cinéma ou expositions selon la semaine que l'une ou l'autre a passée.
Sympa !
A la rentrée de septembre, je testerai peut-être la gouache, l'aquarelle étant très délicate car difficile à retoucher. Il faut y aller progressivement...
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J'étais déjà allée l'an dernier à une démonstration d'art floral au jardin du Luxembourg.
En voici une autre qui a pour thème "compositions festives et bouquets champêtres", été arrivant oblige.
Les auditeurs sont face à une estrade sur laquelle l'organisatrice de la manifestation et des personnes ayant suivi ses cours (mais déjà aguerries à cette pratique artistique) officient.
On s'active dans tous les coins...
Fort réussi, je trouve.
De la sobriété pour ces compositions à la japonaise
Ce sourire de satisfaction fait plaisir à voir !
A base de coquillages glanés au cours de voyages exotiques...
A l'horizontale, à la verticale : toutes les orientations sont possibles, il suffit d'en avoir l'idée.
Plus haut que ça tu meurs !
A mettre peut-être dans les salons d'un grand hôtel ?
Fleurs et fruits
Il ne manque plus que l'eau !
Noir et blanc
Harmonie de rouges
Amusants ces petits pots de yaourt emballés dans des ballons ! Des centre de table très gais.
Après le festif, le côté champêtre
Tout est-il bien en place... ?
Je suis d'accord avec la dame : ça vaut une photo !
Bravo Mesdames !
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En ce vendredi plutôt clément, nous sommes allés à la rencontre d'Hector Guimard guidés par Anne-Marie qui nous avait donné rendez-vous sur la place de la Porte de Saint-Cloud.
Les deux fontaines qui ornent la place datent de l'Exposition internationale des Arts et Techniques de 1937 qui laissera dans Paris de nombreux témoignages comme le Palais de Tokyo ou le nouveau Palais de Chaillot.
Elles sont l'oeuvre de Paul Landowski (1936) et ont pour titre "Les sources de la Seine". L'une représente la vie citadine et l'autre la vie à la campagne comme ci-dessous.
Dommage qu'elles soient maintenant devenues stériles même si c'est pour de bonnes raisons (des raisons de préservation). Les voici en fonctionnement dans les années 1930.
Non loin de là, le Hameau Michel-Ange ouvert en 1883 tout près de la rue du même nom.
Au fond, un immeuble Art déco.
Quel havre de paix en plein Paris !
Nous voici maintenant dans l'avenue de la Frillière : avouez que c'est top !
Au numéro 9, un immeuble construit par Hector Guimard pour la "Société des immeubles propres à l'Education et à la Récréation de la Jeunesse" : il s'agit de l'ancienne école du Sacré-Cœur. Il constitue un tournant entre son oeuvre de jeunesse et sa première période Art Nouveau.
Avant que le rez-de-chaussée ne soit fermé par des vitrages, il constituait la cour de récréation des enfants.
Cet immeuble est à rapprocher de cette "Vue d'un marché avec salle au-dessus" de Viollet-le-Duc.
Au numéro 10, juste en face, se trouve la Villa Claude Lorrain, fermée par un code bien sûr.
Tournant à droite au bout de l'avenue de la Frillière, on arrive à l'Avenue Georges Risler : Même si le vocable d'avenue semble un peu pompeux..., il n'en demeure pas moins que celle-ci vaut le détour, donnant accès à deux Villas pleines de charme.
A l'entrée, l'église de tous les saints de la terre Russe : une petite chapelle orthodoxe en fait
Où va se nicher la végétation tout de même...
Au 77 rue Boileau, une façade élégante Art Nouveau datant de 1902
L'ancien atelier de Jean-Baptiste Carpeaux se trouve au 39 Boulevard Exelmans. Une "pelle" en raconte l'histoire.
Deux statuettes en pierre rappellent sur la façade le métier de l'artiste.
Le pêcheur à la coquille, l'une des oeuvres les plus renommées du sculpteur
Et cette jeune fille avec la main dans les cheveux dont je n'ai pas trouvé trace sur le net.
Si certains en doutaient, la signature fait foi !
Rejoignons l'avenue de Versailles, le 142 plus précisément qui fait l'angle avec la rue de Lancret : ici se trouve un immeuble dit "de rapport" d'Hector Guimard dans le style Art Nouveau (l'immeuble Jassedé, Louis Jassedé étant un promoteur).
Il a beaucoup de "gueule" je trouve (j'adore la forme des mansardes).
La porte d'entrée principale de l'immeuble (Photo Lonzac)
Le côté rue de Lancret, même s'il ne constitue pas la façade principale de l'immeuble a été soigné également comme le montre cette photo d'une bouche d'aération.
Le groupe devant l'Hôtel Deron Levent (Guimard - 1905- 1907) situé, comme le montre la photo, au sein de la Villa de la Réunion : Charles Deron Levent était un négociant en textiles.
Juste à côté se trouve l'Hôtel Jassedé (1893) qui ne manque pas d'allure lui aussi. Guimard y a associé la pierre à la céramique et opté pour une franche dissymétrie.
Élégance de la grille de fermeture ornée de scarabées
La plaque de rue en céramique
En direction de la rue Jouvenet
Encore un bel immeuble au Numéro 39 de la dite rue : Art Déco celui-là sans conteste,
Même si le numéro de la rue est encore influencé par l'Art Nouveau.
On débouche alors sur la rue Boileau.
L'ambassade d'Algérie y a élu domicile au Numéro 40 : il s'agit de l'Hôtel Danois qui a été bâti en béton en 1908 par l'architecte Joachim Richard dans un style orientalisant.
Juste à côté, le Hameau Boileau ainsi appelé du fait que l'écrivain y habita.
Boileau dans la cour de son jardin à Auteuil : la campagne près de Paris...
Boileau a vécu presque 25 ans à Auteuil : en 1685, il achète au 26 de la rue des Garennes (actuelle rue Boileau) une maison à un étage tapissée de vigne dont le jardin atteint l'entrée de l'actuel hameau. Plus tard, après sa mort, la maison fût fréquentée par Voltaire, ami de son nouveau propriétaire.
L'endroit n'a pas trop changé.
Pour mémoire, Boileau a écrit dans "De l'Art poétique" des vers que tout le monde connait bien.
Avant donc que d'écrire, apprenez à penser.
Selon que notre idée est plus ou moins obscure,
L'expression la suit, ou moins nette, ou plus pure.
Ce que l'on conçoit bien s'énonce clairement,
Et les mots pour le dire arrivent aisément.C'est également Boileau qui a figé la forme actuelle de l'expression "appeler un chat un chat" dans un vers de sa première Satire : "J'appelle un chat un chat et Rollet un fripon" (ce Rollet était un procureur véreux)...
Anne-Marie se repère dans sa documentation...
Nous sommes au pied de l'ancienne Auberge du Mouton Blanc où Molière, Racine, Boileau et La Fontaine tenaient table parfois en compagnie de Ninon de Lenclos ou de la Champmeslé, fameuse tragédienne française (c'est pour celle-ci que Racine, amant de l'actrice, écrivit ses plus grandes pièces).
Avez-vous remarqué que maintenant Anne-Marie se munit d'un
Sympa !
On l'entend mieux parmi le bruit de la circulation parisienne.
Une maison du XIXème siècle : on peut la reconnaître à ses volets en bois et y voir, comme nous l'a fait remarquer Anne-Marie, une poulie destinée à hisser des matériaux à l'étage.
La grille d'Honneur du Lycée Jean-Baptiste Say : à l'origine les bâtiments servaient à une manufacture de laine et de cachemire (à la mode depuis la campagne d'Egypte) appartenant à M. Ternaux Roussseau.
Au 6 de la rue du Buis se trouve un petit immeuble dans lequel habita Olympe de Gouges.
Auteur de nombreux romans et pièces de théâtre, elle s’engage dans des combats politiques en faveur des Noirs et de l’égalité des sexes. Son écrit politique le plus célèbre est la Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne (septembre 1791), véritable manifeste du féminisme adressé à Marie-Antoinette.
Dans le camp des Girondins, elle prend la défense de Louis XVI en tant qu'homme et accuse Robespierre et les Montagnards de vouloir instaurer la dictature par la violence.
Arrêtée le 20 juillet 1793, elle sera jugée sommairement (sans avocat) le 2 novembre et exécutée le lendemain (alors qu'elle était probablement enceinte) sur l'échafaud.
Elle n'avait que 45 ans...
Il y a eu un débat récemment qui la concernait : François Hollande a choisi cette année 4 résistants au nazisme (2 hommes et 2 femmes) pour entrer au Panthéon. Olympe de Gouges, pourtant arrivée en tête de la consultation sur internet organisée par le Centre des Monument Nationaux, aura peut-être sa chance l'an prochain... ?
Détail de la façade
Edicule Guimard pour la station de métro Eglise d'Auteuil
L'église d'Auteuil, la voici : elle est de style romano-byzantin et date des années 1890. Le village d'Auteuil ayant été rattaché à Paris en 1860, la ville participa à sa construction.
En témoigne le blason de Paris situé sur le côté de l'église
Il est battu par les flots mais ne sombre pas !
(autrement dit : Fluctuat nec mergitur !)Notre Dame d'Auteuil : Vierge à l'Enfant de Henri-Charles Maniglier (1882)
Pour la petite histoire, à l'origine trouvée gênante car au milieu du porche, elle fût déplacée dans le jardin du presbytère et ne retrouva sa place, sur le côté du porche cette fois-ci, qu'en 1988...
A l'angle de la rue d'Auteuil, un plaque commémore l'emplacement d'une ancienne maison de campagne de Molière. Cliquez sur l'image pour la voir mieux.
Et encore un immeuble Art Nouveau... Un ! (rue du Père Brottier)
Nous avons maintenant rejoint la rue Jean de La Fontaine : au numéro 60, on trouve l'Hôtel particulier construit par Hector Guimard pour Paul Mezzara, industriel du textile et créateur de modèles de dentelles. Il s'agit là, parait-il, d'une de ses réalisations les plus réussies.
Quelle élégance dans la ferronnerie du balcon !
La porte d'entrée est en "faux bois" peint, typique de l'Art Nouveau.
Admirez la finesse de la grille donnant sur la rue.
Un peu plus loin dans la rue, voici la Fondation des orphelins apprentis d'Auteuil créée en 1866 par l'Abbé Louis Roussel. Fondation catholique, sous tutelle du Ministère de l'Intérieur, de l'Archevêché de Paris et de la Congrégation du Saint-Esprit, elle se consacre à l'accueil, la formation et l'aide à l'insertion des jeunes en difficultés sociales.
Qui dit édifice religieux dit cloître...
Gagné !
Il se trouve derrière cette colonnade... Si vous cliquez, vous verrez le nid !
Au fond de la cour, la Chapelle dédiée à Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus, que le Père Daniel Brottier, co-fondateur de la Fondation, choisit pour être la protectrice de ses orphelins.
Notre promenade tire maintenant à sa fin : ce très bel immeuble se situe rue Agar, du nom d'une tragédienne de la fin du XIXème siècle aussi célèbre que Rachel ou Sarah Bernhardt.
Moi, je connaissais les deux autres ! (je n'ai pas d'actions dans ce pressing, la photo n'était tout simplement pas facile à prendre...).
La plaque de rue, en harmonie avec le style de l'immeuble, Art Nouveau...
Et encore un !
N'en jetez plus : la cour est pleine...
Gouttières décorées : jusqu'où va le détail !
Le bouquet final
Le Castel Béranger occupé par Hector Guimard lui-même (au rez-de-chaussée)
Le Hameau Béranger puise son inspiration dans le Moyen-Age et dans la nature.
En levant les yeux, un drôle de chat...
Un clin d'oeil à lui-même : Guimard s'est représenté sous la forme de ces masques décorant le balcon.
L'architecte conçoit des hippocampes en ferronnerie, sortes de gargouilles sans fonction autre que décorative.
Superbe, non ?
Un autre animal bizarre...
Revenons sur terre avec ce portail d'entrée à la grille ondulante.
Le vestibule est tapissé de panneaux de grès vernissés d’Alexandre Bigot, aux tonalités cuivrées et aux formes étranges.
Nous ne sommes pas loin de la Tour Eiffel mais surtout tout à côté de la Maison de la Radio.
Fin de la ballade...
ou presque : juste un dernier coup d'oeil sur ce curieux immeuble du 18 de la rue de l'Assomption, construit en 1925 par Charles Lemaresquier.
Étonnante sculpture d'un Bacchus "vomissant" (il y avait beaucoup de vignes autrefois dans l'arrondissement) : est-ce la raison de cette sculpture... ?
Un grand merci Anne-Marie
pour ton guidage super efficace
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