• Cette année, j'ai particulièrement apprécié la carte de vœux de notre maire, Jérôme Coumet, qui a fait appel à Agnès Goyet, peintre aquarelliste, pour réaliser la carte envoyée à tous les habitants votant dans le XIIIème arrondissement : neuf de ses aquarelles représentant différents quartiers ont en effet été choisies pour composer la carte de vœux 2021 dont la première page représente justement notre quartier de la Butte aux Cailles - avec son église Sainte-Anne et ses petites maisons - auquel je suis attachée.

    Les voeux de Jérôme Coumet, Maire du XIIIème arrondissement

    Agnès Goyet se définit ainsi :

    Urbansketcher parisienne…​

    J’ai toujours plus ou moins dessiné et découvert l’aquarelle avec un stage dans le sud de la France. J’ai pris quelques cours et rapidement, je suis devenue parisienne. J’ai alors lâché les cours et découvert le bonheur de dessiner dehors.

    …et carnettiste d’ici et d’ailleurs

    Je dessine sur le vif, avec un matériel réduit au minimum : un carnet, une plume et de l’aquarelle pour une mise en couleurs légère, spontanée et sensible. L’aquarelle s’adapte parfaitement aux carnets de voyage.

    J’aime croquer sur le vif car c’est le meilleur moyen d’être dans l'instant présent.

    Merci Monsieur le Maire !


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  • Je suis abonnée depuis plusieurs années au site de Cindy Barillet que j'ai découvert par hasard en cliquant sur "pastels secs", une technique que j'aime exécuter de temps à autres (plus "à autres" depuis que mon atelier de dessin à Générations 13 a fermé...). Aujourd'hui, j'ai reçu cette vidéo et je vous la communique : elle décrit très bien la personnalité de l'artiste et toutes les techniques qu'elle manie avec goût (le pastel sec, l'aquarelle, la peinture à l'huile, la gouache...). Vous pouvez la suivre régulièrement si vous vous abonnez à sa newsletter.

    La bande-annonce du site de Cindy Barillet, artiste peintre

    C'est surtout une peintre animalière mais elle fait aussi des paysages, des natures mortes et même des portraits. Ce peut être une bonne idée de cadeau pour l'anniversaire d'un enfant, d'un petit-fils ou d'une petite-fille ou si vous voulez garder le souvenir de quelqu'un...

    Eh oui, je lui fais de la pub aujourd'hui car elle est vraiment très douée. Par contre, je ne connais pas les prix mais... quand on aime, on ne compte pas n'est-ce pas !

    Super, non ?


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  • Une copine de chorale vient de me transmettre quelques blagues sur le Covid 19.

    Celle-ci m'a bien amusée.

    Un sourire en cette période morose, ça fait du bien !


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  • Ce 30 décembre 2019, le blog a atteint des sommets de fréquentation : 258 accès dans la journée tous pays confondus pour 359 pages vues...

    Le blog explose !

    Ce qui est intéressant, c'est qu'il est en phase de croissance régulière depuis sa création en 2015.

    Le blog explose !

    Par Google analytics, je peux même connaître les pays qui le consultent : évidemment les pays francophones sont en tête mais je suis lue jusqu'en Australie !

    Le blog explose !

    Me voici récompensée du mal que je me donne...

    Fière la fille !


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  • La trottinette électrique a déjà 100 ans

    Il n’était pas encore électrique comme aujourd’hui, mais l’Autoped de cette suffragette nommée Lady Florence Norman était équipé d’un moteur à essence et d’un générateur d’éclairage. C’était en 1916.

    Les débuts à New York

    À force d’en voir partout dans les villes, en libre-service ou customisée, on aurait tendance à croire que la trottinette est un engin né au 21èmesiècle ou, pour résumer, un jouet contemporain. C’est raté. Le moyen de déplacement préféré des citadins pressés a plus d’un siècle. Son ancêtre n’est autre que l’Autoped, un deux-roues conçu à New York en 1915, en pleine Première Guerre mondiale, pour se déplacer en contournant les rationnements d’essence. Cette trottinette motorisée disposait d’un petit réservoir situé à l’avant mais aussi d’un klaxon et d’une manette pour les gaz. Bien pratique pour foncer dans les rues de Brooklyn, effrayer les passants et surtout faire des économies – de temps et d’argent.

    Des postiers en Autoped, 1915

    Un symbole féministe

    Commercialisé jusqu’en 1921, le modèle de la société Autoped, même s’il ne s’imposera pas comme un must have de l’époque, traversera tout de même l’Atlantique. La photo de Une montre à ce titre une Anglaise moderne pour son temps : Lady Florence Norman avait reçu cette trottinette de son mari, et elle lui permettait d’aller à son bureau où elle était superviseure. Mobilité, parité homme-femme, autant de thématiques qui résonnent avec l’époque actuelle et qui nous rappellent à quel point certains combats ne datent pas d’hier.

    Le joujou préféré des gangsters

    À New York, l’Autoped connaîtra comme on l’a vu un succès mitigé, et l’une des raisons est peut-être liée au fait que cette trottinette hybride avant l’heure était surtout utilisée par les… voyous. Épatés par sa facilité d’utilisation et ses capacités à slalomer entre les véhicules, les gangs new-yorkais s’en servaient pour s’échapper plus rapidement. Et ce fun fact permet de boucler la boucle, puisqu’on apprenait cette semaine qu’un Américain avait tenté de braquer une banque en s'enfuyant en trottinette électrique. Trottinette un jour, trottinette toujours… Comme le prouve la photo ci-dessous, prise à Paris en 1919. La couleur en moins, le cliché est d’une modernité désarmante.

    Etonnant, non ?


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