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Publié par Tolbiac204

Je viens de terminer un livre écrit par Alexia Stresi, une autrice que je découvre.

En lisant sa biographie sur le net, j'ai vu qu'avant de se lancer dans l'écriture en 2017 elle était (et est toujours) principalement actrice mais aussi scénariste. Issue d'une famille d'artistes (sa mère est danseuse classique, sa grand-mère pianiste d'orchestre et son grand-père chanteur d'opéra), c'est peut-être ce vécu qui lui a permis d'écrire avec brio ce roman "Des lendemains qui chantent" dont l'action se passe entre l'Italie et la France et suit la carrière fulgurante d'un jeune ténor italien qui fuit la dictature de Mussolini.

Paris, 1935
Lors de la première du Rigoletto de Verdi à l’Opéra-Comique, un jeune ténor défraie la chronique en volant la vedette au rôle-titre. Le nom de ce prodige ? Elio Leone.
Né en Italie à l’orée de la Première Guerre mondiale, orphelin parmi tant d’autres, rien ne le prédestinait à enflammer un jour le Tout-Paris. Rien ? Si, sa voix. Une voix en or, comme il en existe peut-être trois ou quatre par siècle.
Cette histoire serait très belle, mais un peu trop simple.
L’homme a des failles.
D’ailleurs, est-ce vraiment de succès qu’il rêvait ?

C'est une question à laquelle la deuxième partie du roman répond, alors que le héros s'enrôle dans l'armée française en guerre contre l'Allemagne nazie : une deuxième partie pleine de surprises...

Un livre qui se dévore mais qui s'écoute aussi car la musique de Verdi y est omniprésente !

NB : pour le côté People, Alexia Stresi est mariée à François Berléand. Dans les remerciements, elle inclut les deux jumelles qu'ils ont eu ensemble, Adèle et Lucie, qui ont entendu, paraît-il beaucoup d'opéras à leur adolescence.

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