• Aujourd'hui Bernard nous a proposé une balade du côté de Semur-en-Auxois, à Pont-et-Massène où se trouve un restaurant - Le Chalet du Lac - surplombant le Lac de Pont.

    Depuis la terrasse du restaurant, on aperçoit le lac.

    Celle-ci, ombragée grâce à des pergolas tendues de toiles de tente, nous a permis de déjeuner à l'ombre.

    Au menu du midi, un menu à 13,50 euros composé d'un buffet d'entrées suivi d'un plat, vin et café compris. A la carte, des œufs en meurette, du jambon persillé de Bourgogne, des cuisses de grenouille, de la tête de veau, des poires au vin : de quoi se lécher les babines !

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    Après déjeuner, nous sommes descendus voir le lac qui est très bien aménagé pour la baignade surveillée et les sports nautiques. On peut y louer des canoës et des pédalos. L'été prochain on y viendra sans doute avec Louis...

    Nous avons ensuite rejoint Lantilly pour y faire un tour dans le jardin de son château.

    Son potager a reçu en 2004 le Label "Jardin remarquable".

    Le "Château aux cent fenêtres" datant de 1709 est une propriété privée : il ne se visite qu'aux Journées du Patrimoine mais l'accès à son parc à l'anglaise est libre.

    Devant le château, des plantations de kumquatiers en caisses : ils sont plus résistants que les orangers.

    Sur l'arrière, la façade du château donne sur un paysage exceptionnel.

    On y jouit d'une vue imprenable sur Alésia, la vallée des Laumes et la campagne environnante.

    Son parc à l'anglaise possède des arbres remarquables dont ce cèdre du Liban tricentenaire.

    J'ai été frappée par la beauté de ses toitures de tuiles.

    De biens jolis épis de faîtage...

    Tandis que Philippe a trouvé un banc accueillant,

    Je fais avec Bernard la visite du potager qui a, paraît-il, la forme d'un œil.

    En son centre, un champ de blé !

    Le jardin est orné de fleurs.

    Il possède une pièce d'eau plantée de végétaux aquatiques.

    Une attention particulière est portée aux topiaires.

    Parmi les nénuphars, une flopée de petites grenouilles sauteuses !

    Du côté de la serre, des cultures maraîchères

    Une journée bien agréable


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  • Après avoir visité de fond en comble la ferme forte de La Pothière à Etalante (cliquez ICI pour lire le post), Nadine nous emmène maintenant découvrir le Gaec "Les Marroniers" à Origny. Il s'agit d'un élevage de vaches laitières dont le lait est transformé pour faire des fromages d'Epoisses fermier (l'obtention de l'A.O.P. Epoisses fermier date d'octobre 2002).

    C'est Alain Bartkowiez qui va nous expliquer tout, tout, tout, sur cette fabrication mais... - sans prendre de notes et le temps passant - je n'ai pas tout retenu, loin s'en faut !

    Découverte de la Fromagerie d'Origny avec l'Office de Tourisme de Châtillon-sur-Seine

    Dans un premier temps, il nous emmène voir sa ferme située un peu en dehors du village. Les vaches y paissent en "champs ouverts" sur une surface de 145 hectares.Tous les bâtiments de la ferme sont construits en bois pour favoriser l'isolation contre le froid et la chaleur estivale.

    Découverte de la Fromagerie d'Origny avec l'Office de Tourisme de Châtillon-sur-Seine

    Alain Bartkowiez élève des montbéliardes principalement : ce sont elles qui - grâce au fourrage maison - donnent le meilleur lait pour la fabrication de ses fromages. Il a aussi quelques brunes des Alpes. En tout, 70 vaches pour produire le fromage.

    Découverte de la Fromagerie d'Origny avec l'Office de Tourisme de Châtillon-sur-Seine

    De futures productrices d'Epoisses fermier : bon appétit les petits veaux !

    Découverte de la Fromagerie d'Origny avec l'Office de Tourisme de Châtillon-sur-Seine

    Voici l'endroit où les vaches viennent se faire traire : elles se positionnent de chaque côté de cette allée, là où nous avons pris place pour écouter les explications d'Alain Bartkowiez. Dommage que nous ne soyons pas venus pendant la traite...

    Découverte de la Fromagerie d'Origny avec l'Office de Tourisme de Châtillon-sur-Seine

    Le bon déroulement de la traite, faite par les agriculteurs, est assuré par cet appareil connecté. 

    Découverte de la Fromagerie d'Origny avec l'Office de Tourisme de Châtillon-sur-Seine

    Un séchoir à foin se trouve à proximité des vaches dans la stabulation.

    Découverte de la Fromagerie d'Origny avec l'Office de Tourisme de Châtillon-sur-Seine

    Il est actionné par de gros ventilateurs qui font un bruit d'enfer quand ils sont en fonctionnement.

    Découverte de la Fromagerie d'Origny avec l'Office de Tourisme de Châtillon-sur-Seine

    La visite de la stabulation terminée, nous revenons à la fromagerie en passant près de l'église du village dont le clocher, précédé d'un auvent, sert de porche.

    Découverte de la Fromagerie d'Origny avec l'Office de Tourisme de Châtillon-sur-Seine

    A l'entrée du magasin, une enseigne annonce la couleur.

    Découverte de la Fromagerie d'Origny avec l'Office de Tourisme de Châtillon-sur-Seine

    Découverte de la Fromagerie d'Origny avec l'Office de Tourisme de Châtillon-sur-Seine

    Avant de nous approvisionner en fromages..., une visite guidée de la fromagerie.

    Découverte de la Fromagerie d'Origny avec l'Office de Tourisme de Châtillon-sur-Seine

    Pour pénétrer dans cette aire super aseptisée, on doit enfiler des chaussons de protection et mettre une charlotte : quel look les frangin-frangine !

    Découverte de la Fromagerie d'Origny avec l'Office de Tourisme de Châtillon-sur-Seine

    Un prêté pour un rendu !!!

    Découverte de la Fromagerie d'Origny avec l'Office de Tourisme de Châtillon-sur-Seine

    Alain Bartkowiez nous montre ici l'appareil destiné à poser l'opercule sur les pots de yaourts. La fromagerie fabrique en effet - outre l'Epoisses fermier - des yaourts fermiers aux fruits (il y a 12 parfums différents).

    Découverte de la Fromagerie d'Origny avec l'Office de Tourisme de Châtillon-sur-Seine

    Dans une autre pièce, deux personnes du Gaec sont en train de finaliser la préparation des fromages d'Epoisses.

    Découverte de la Fromagerie d'Origny avec l'Office de Tourisme de Châtillon-sur-Seine

    Nous nous sommes ensuite rendus à la boutique !

    Ici, on peut acheter du fromage blanc, des yaourts aux fruits, de la crème, et même des flamiches à l'Epoisses...

    Découverte de la Fromagerie d'Origny avec l'Office de Tourisme de Châtillon-sur-Seine

    Nous en avons acheté une qui était vraiment délicieuse et l'avons dégustée accompagnée d'une petite salade.

    Découverte de la Fromagerie d'Origny avec l'Office de Tourisme de Châtillon-sur-Seine

    Dans cette vitrine également réfrigérée, le fameux fromage orange...

    Découverte de la Fromagerie d'Origny avec l'Office de Tourisme de Châtillon-sur-Seine

    Découverte de la Fromagerie d'Origny avec l'Office de Tourisme de Châtillon-sur-Seine

    Une visite très intéressante mais qui devrait se faire avec un magnétophone : j'ai beaucoup oublié les explications fort fournies d'Alain Bartkowiez...

    Merci à l'Office de Tourisme de Châtillon pour cette après-midi bien employée.


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  • Pour clore cette année les "Mardis Découvertes" de l'Office de Tourisme de Châtillon, Nadine a choisi de nous faire découvrir aujourd'hui la ferme forte de La Pothière située à Etalante près d'Aignay-le-Duc. Nous sommes très nombreux à participer à la visite guidée.

    Visite de la ferme forte de La Pothière avec l'OT de Châtillon-sur-Seine

    Cette fois-ci encore Marie-France nous a accompagnés : il semble qu'elle prenne goût aux petites balades du mardi...

    Visite de la ferme forte de La Pothière avec l'OT de Châtillon-sur-Seine

    Datant des XV et XVIème siècles, c'était autrefois le Rendez-vous de chasse du Prince de Condé.

    Une fois passée la lourde porte en bois à deux vantaux donnant sur un porche imposant,

    on accède à la cour carrée autour de laquelle s'articulent tous les bâtiments.

    Le plafond du porche est fait de lattes de bois.

    A l'intérieur de la cour, on voit au-dessus du porche les fenêtres de la salle des gardes depuis laquelle s'organisait la défense des bâtiments.

    Il y avait autrefois à cet endroit une autre porte protégeant la ferme de l'ennemi : on peut encore en voir l'énorme gond.

    A l'intérieur de cette tour, un escalier en colimaçon, dont l'entrée se trouve sous le porche, donne accès à une galerie communiquant avec la salle des gardes. 

    Depuis celle-ci, on a une belle vue sur la cour,

     

    et sur les toits de la ferme et le pigeonnier. 

    Le pigeonnier vu du plancher des vaches : il est construit en moellons de pierres plates.

    En son angle, un beau cadran solaire décoré d'un soleil sculpté

    Un épi de faîtage constitué d'une rose des vents surmontée d'un coq en surmonte le toit.

     

    On accède au pigeonnier par cette petite porte ouverte côté ouest. 

    En montant sur une petite échelle au niveau du cellier inférieur, on accède à l'intérieur du pigeonnier pourvu de nombreux boulins (un boulin correspondait à un couple de pigeons et donc à l'étendue du domaine).

    Et maintenant, allons visiter les autres bâtiments de la ferme.

    Voici la pièce à vivre des communs avec sa cheminée

    Elle possède un ancien plafond de bois.

    A côté de la cheminée se trouvait un endroit où l'on lavait le linge en utilisant de la cendre. J'en ai oublié le nom...

    Voici une photo qui montre un tel endroit dans une autre ferme.

    On y trouve aussi l'espace du four à pain.

    et celui de l'évier, sous la fenêtre.
    Dans cette partie de la pièce, on faisait aussi sécher les fromages.

    Ici, on rangeait le bois de chauffage : bref, on avait tout sous la main !

    Qui dit ferme dit animaux : voici les soues à cochons,

    et les écuries : les distributeurs d'eau ne sont bien sûr pas d'époque. Ils ont été rajoutés postérieurement.

    Il y a plusieurs écuries, preuve que la ferme avait une certaine importance.

    Sur ce côté, la maison d'habitation actuelle qui date de 1849.

    Au centre de la cour, la fontaine est intarissable.

    La grange possède une superbe charpente.

    Nous quittons maintenant la cour principale en passant par la toute petite porte donnant accès au jardin pour aller à l'extérieur voir le lavoir qui date du XVIème siècle.

     

    Le voici avec sa large baie donnant sur la campagne : il ne devait pas faire chaud en hiver...

    Le lavoir possède un très joli toit.

    A côté du lavoir, un bâtiment abritant une pièce voûtée dont j'ai un peu oublié l'utilité : une sorte de cuisine me semble-t-il me souvenir...

    Superbe en tout cas.

     

    L'ensemble des gens (il y avait tout un groupe venant de Montbard) a paru bien apprécier cette visite et nous aussi.

     

    Merci à l'OT de Châtillon pour ces visites estivales qui nous font découvrir le patrimoine caché de la région.


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  • En cette fin d'après-midi ensoleillée, je suis partie avec ma nouvelle acquisition (un vélo à assistance électrique) arpenter la campagne.

    Promenade en vélo électrique jusqu'à Pothières

    J'avais l'idée d'aller acheter du pain à la boulangerie de Pothières mais... j'ai découvert à cette occasion qu'elle avait fermé il y a trois ans. C'est vrai que nous n'avons jamais eu l'idée d'aller chercher notre pain au camion qui, autrefois, sillonnait le matin les villages environnants en klaxonnant pour prévenir les habitants de son passage. C'est, parait-il, désormais la boulangerie de Mussy qui fait le job.

    J'en ai profité pour faire toutes les rues du village dont le nom viendrait de Pultis : terrain boueux.

    Même si ce n'est pas très esthétique, pour rouler en toute sécurité, j'ai fait l'acquisition d'un casque et j'ai aussi investi dans un panier pour mettre mon sac à main.

    Promenade en vélo électrique jusqu'à Pothières

    Promenade en vélo électrique jusqu'à Pothières

    Voici l'église Saint-Georges, néo-romane : elle remplace depuis 1867 l'édifice précédent qui était totalement vétuste. À l'intérieur, de beaux vitraux et une colonne datant de la fin XIe ou XIIe, provenant sans doute de l'ancienne abbaye Saint-Pierre et Saint-Paul. Il faudra qu'un jour j'en fasse la visite dans le cadre de l'animation estivale "Un jour Une église" car naturellement elle était fermée...

    Promenade en vélo électrique jusqu'à Pothières

    En contrebas, derrière l'église, le lavoir (du XIXe) est fermé sur trois côtés. Il offre sur le pignon d'entrée, trois ouvertures qui ne comportent aucune porte. L'ouverture centrale est surmontée d'une fenêtre en demi-cercle, ce qui donne l'impression d'arriver vers une chapelle. (Photo Christal de Saint-Marc)

    Promenade en vélo électrique jusqu'à Pothières

    Muni d'un bassin où on lavait à genoux dans des "carrosses" emplis de paille, il comporte de chaque côté, des pierres encastrées dans les murs : elles permettaient de poser le matériel et les bassines de linge. (Photo Christal de Saint-Marc).

    L'alimentation en eau se faisait par le ruisseau du Val Dupuis. Aujourd'hui désaffecté, le lavoir a été clos par des grillages afin d'éviter les dégradations dues à son isolement.

    Promenade en vélo électrique jusqu'à Pothières

    Lavandière avec son carrosse : la caisse en bois lui évitait de mouiller sa robe.

    Cet objet rudimentaire s’appelle aussi « agenouilloir » ou encore « baquet », « cabasson » dans le Gâtinais, « baillot » en Charente, « boite à laver », « caisse », « auget », « triolo », mais encore « caboulot », « casseau », « auget », « agenouilloir », « garde-genou »…

    Promenade en vélo électrique jusqu'à Pothières 

    A Pothières, il y a aussi le Château qui appartient aux Petits Frères des Pauvres (ils proposent de l'accueil temporaire aux personnes âgées). Il s'agit en fait de l' ancienne abbaye bénédictine Saint-Pierre Saint-Paul fondée en 863 par Girart de Roussillon et dont les bâtiments actuels datent du XVIIIème siècle.

    Promenade en vélo électrique jusqu'à Pothières

    Jeanne d'Arc a fait étape à Pothières : un monument à l'entrée de l'abbaye célèbre ce passage. La plaque porte l'inscription suivante : « L'an 1429, le samedi 26 février, Sainte Jeanne d'Arc, venant de l'abbaye de Clairvaux et se dirigeant sur Auxerre, fut hébergée en cette abbaye bénédictine de Pothières avec ses six compagnons, Colet de Vienne, Richard L'Archer, Bertrand de Poulangy, Julien de Honnecourt, Jean de Metz, Jean de Honnecourt. Gloire à Sainte Jeanne d'Arc. ». La clôture du monastère étant interdite aux femmes, on pense que Jeanne passa la nuit dans la maison de la Tour, toute proche.

    Promenade en vélo électrique jusqu'à Pothières

    Sans doute dans cette très jolie maison qui porte également une plaque commémorant le cinquième centenaire de ce passage... ?

    Promenade en vélo électrique jusqu'à Pothières

    Promenade en vélo électrique jusqu'à Pothières

    Non loin de l'église, une jolie maison, malheureusement en contre-jour...

    Promenade en vélo électrique jusqu'à Pothières

    Amusante cette maison avec son arbre généalogique !

    Promenade en vélo électrique jusqu'à Pothières

    Sur le côté de la maison, une inscription :

    "La vie, l'enfer ou le paradis : un seul coup de dé peut le décider."

    Promenade en vélo électrique jusqu'à Pothières

    Promenade en vélo électrique jusqu'à Pothières

    Il s'agit de l'arbre généalogique de Raoul Albert Baehler marié à Louise Gruaz.

    Promenade en vélo électrique jusqu'à Pothières

    Au retour, petit arrêt au cimetière

    Promenade en vélo électrique jusqu'à Pothières

    Celui-ci renferme quelques très jolis monuments funéraires.

    Promenade en vélo électrique jusqu'à Pothières

    Promenade en vélo électrique jusqu'à Pothières

    Promenade en vélo électrique jusqu'à Pothières

    Avec le petit détour par la ferme du Bois de Vesvres, j'ai calculé que j'avais fait 13,5 kms sans la moindre peine, malgré le vent qui soufflait assez fort.

    Nickel chrome !

    Promenade en vélo électrique jusqu'à Pothières


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  •  Ce samedi, nous sommes allés au cinéma - au Sélect à Châtillon - avec Louis voir un film  dont j'avais lu une très bonne critique : Tito et les oiseaux de Gustavo Steinberg.

    Le scénariste a imaginé une société en proie à la peur, au point que celle-ci change les plus pusillanimes en blocs de pierre. Cette terreur est entretenue par les scientifiques, les autorités, au profit de spéculateurs qui veulent diviser la population entre ceux qui ont les moyens de se réfugier dans de luxueux complexes sécurisés et le reste de l’humanité à qui ne reste que le choix entre la soumission et la pétrification.

    Il semble que le scénariste ait pris pour "modèle" le Brésil du nouveau Président Bolsonaro, élu le 1er janvier 2019 à la tête du pays, mais on pense évidemment aussi aux partis d'extrême-droite dont le fonds de commerce repose principalement sur la peur...

    Résumé

    Tito a 10 ans et vit seul avec sa mère. Lorsqu’une étrange épidémie commence à se propager dans la ville, transformant les gens en pierres chaque fois qu’ils ont peur, Tito comprend que le remède pourrait être lié aux recherches que son père, aujourd'hui introuvable, avait faites avec des oiseaux. Accompagné par ses amis, il se donne alors pour mission de sauver le monde.

    Ce qui frappe, par-dessus tout, c’est l’esthétique générale du film.

    Les images sont presque entièrement faites à la peinture à l’huile, avec quelques animations numériques : ceci donne aux décors une texture et un relief très expressionnistes, dignes de Metropolis ou du Cabinet du Docteur Caligari, et renforce la dimension fantastique du film, parfois gothique, notamment par les formes fantomatiques des oiseaux, qui semblent effrayants, mais sont la clé de l’intrigue.

    Une aventure simple à suivre, cinématographiquement innovante et pleine d’humanité.

     La bande-annonce

    Le film était plutôt destiné aux enfants à partir de 8 ans mais Louis possèdant un vocabulaire riche j'ai pensé à juste titre qu'il serait capable de l'apprécier.


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