• La semaine dernière, j'ai fait une randonnée dans l'Essonne avec Générations 13 et, par le plus grand des hasards, tout près de chez Laëtitia et Benjamin.

    Le rendez-vous était donné par Jacqueline, l'organisatrice de ces randonnées bimensuelles, à la gare RER station Bibliothèque François Mitterand et, une petite heure après, nous arrivions en gare de Breuillet-Village, Saint-Chéron n'étant qu'à quelques kilomètres...

    Il s'agissait d'une randonnée en boucle d'une quinzaine de kilomètres ayant pour but la visite de l'arboretum de Segrez situé à Saint-Sulpice-de-Favières.

     

    Montée vers l'église de Saint-Yon

     Les petites églises de campagne sont fermées, naturellement...

    Saint-Yon, disciple de Saint-Denis, fût décapité ici même (sur cette butte correspondant à un ancien oppidum romain) pour avoir prêché la foi catholique aux habitants de cette région au IIIème siècle.

    Les guerres de religion, ce n'est pas nouveau...

     

     Dans le bois de Baville

     J'ai toujours rêvé de monter à cheval...

    Superbes ces conifères, je trouve.

     Un passage un peu délicat dans les rochers

    Curieuse, cette racine...

    Jacqueline a suivi les conseils de Jacqueline (il y a 4 Jacqueline dans le groupe.)

    Elle a pris ses bâtons !

    tout comme Françoise qui ferme la marche. C'est vrai que ce jour là il faisait sec mais, avec un peu de pluie sur le joli tapis de feuilles mortes, la descente aurait peut-être été moins aisée...

    Arrivée à Saint-Sulpice-de-Favières : on découvre le chevet de son imposante église.

    Juste à côté de l'église, l'entrée de l'arboretum de Segrez (le nom vient du latin secretum qui veut dire "petit lieu secret") : Jacqueline guette le guide avec lequel elle a pris rendez-vous pour cette visite ayant pour thème : les oiseaux.

    La guide, puisqu'il s'agit d'une femme, nous montre dès l'entrée un ancien nid de frelon asiatique.

     

    Puis elle nous dirige vers ce que l'on pourrait croire être un ensemble d'arbres. Que nenni, il s'agit du seul et même arbre ! Étonnant, non ? Je crois qu'on parle ici de drageonnage...

    Deux hêtres tortueux (Pterocarya Praxifolia)

    La forme des branches, qui donne son nom à l'arbre, est tout à fait étonnante, semblant protéger le tronc par un mur de feuillages descendant jusqu'au sol. Il faut bien sûr, à cette époque, imaginer le dit feuillage...

    Quelle envergure !

     

    Autre curiosité de ce parc où sont présents des arbres remarquables : le cyprès de Louisiane ou cyprès chauve (car ses feuilles sont caduques) qui se plait en milieu humide et fait des racines aériennes. Ces dernières contribuent à un meilleur ancrage de l'arbre dans le sol et à la fourniture en oxygène du système racinaire immergé.

    Voici à quoi il ressemble l'été (photo prise dans les Landes par Mangatum)

    Vous vous demandez le nom de ce groupe de grands arbres ? Ce sont des liquidambars.

     

    Si je vous dis qu'il s'agit ici d'un conifère, vous me croirez ?

    Le groupe est très attentif aux explications de la guide (fort compétente). Par contre, le thème des oiseaux est bien difficile à tenir : nous sommes un groupe beaucoup trop nombreux pour que les hôtes de ces bois daignent montrer leur frimousse... (On entend leurs chants cependant.)

    Qu'importe : on apprend beaucoup sur les arbres.

    Oh ! un arbre déjà en fleurs...

    Nous arrivons à la grotte artificielle créée en 1772 par la Comtesse de Blot (épouse du Comte de BLot, propriétaire du domaine à cette époque) C'est aussi elle fit planter les trois cyprès chauves du parc.

    Très XVIIIème siècle en effet la grotte

    Si on entre à l'intérieur, on peut y voir les quelques coquillages et moules témoins de sa splendeur d'antan : la mode des Nymphées...

    Il y avait aussi un papillon de nuit !

    Depuis l'intérieur de la grotte, on a une jolie vue sur le château.

    Nous quittons l'arboretum - un peu gelés - pour aller nous restaurer (une soupe chaude et un café, ça réchauffe une homme) avant de visiter l'église Saint-Sulpice voisine. Saint-Sulpice le Pieux, le bon ou le débonnaire (que de dénominatifs pour une seul homme !) était évêque de Bourges au VIIème siècle sous Clotaire II...

    La grandeur de l'église par rapport au village, modeste, s'explique par sa vocation de pèlerinage. Elle a été construite dans les dernières années du règne de Saint-Louis dans un style rayonnant.

    Un emprunt à internet...

    Ne dirait-on pas le "Sourire de Reims" ?

    La Chapelle des miracles est la plus ancienne partie de l'église : ce qui l'en reste date de 1180.

    On y trouve un buste de Saint-Sulpice qui serte de reliquaire apparemment (Photo Accrochoc),

    une vie du Saint (peinture sur bois - 1937)

    et une jolie Vierge à l'enfant

    Autre jolie statue (désolée pour le flou... - non identifiée)

    Les verrières rayonnantes du chœur

    Les stalles sont très ouvragées. Je n'ai pas eu le temps de les prendre en détail...

    Un beau vitrail dans une chapelle adjacente : celui de la Vierge

    Il est temps de remarcher pour se réchauffer...

    Sortant du village, nous prenons le chemin du retour : direction le RER C à Breuillet-Village.

    Sans cavalière cette fois mais content de voir du monde

    Pas toujours facile à traverser les petits chemins de campagne : de l'utilité des bâtons... et de l'aide secourable de Jacqueline

    Enfin, nous sommes rentrés à bon port en temps et en heure.

    Un peu crottés, ça s'entend !


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  • Une semaine à La Garde du 7 au 14 mars 2015

     

    Avant de quitter cette belle région, une promenade au nord de Bourg d'Oisans en direction de Vaujany pour aller visiter le Musée EDF Hydrélec du Barrage de Grand'Maison. Nous avons consacré plus de 2 heures à le visiter (en détails il faut dire).

    En effet, après 3 ans de travaux, le Musée a ré-ouvert ses portes avec un nouveau parcours scénographique vraiment attrayant et très pédagogique.

    Cette salle s'appelle "La pyramide du temps"

    Une semaine à La Garde : saison 5

    De grands panneaux font le tour de la salle et expliquent les différentes étapes allant de l'Hydraulique à l'Hydroélectrique pour finir par le Barrage de Grand'Maison.

    Panneau sur l'Hydraulique

    Une semaine à La Garde : saison 5

     Panneau sur l'Electricité

     Une semaine à La Garde : saison 5

     Les expériences électrostatiques de l'Abbé Nollet (1700-1770)

    Ce dernier présentait des expériences extraordinaires dans les salons mondains. Ainsi, sur cette gravure où un "cobaye" humain, suspendu, est électrisé à l'aide d'un tube de verre frotté, attirant ainsi des copeaux d'or avec ses doigts....

    Pour tout vous dire, je préfère encore vivre au 21ème siècle !

    Une semaine à La Garde : saison 5

    Immeuble électrifié (1885)

    Une semaine à La Garde : saison 5

     Invention de la pile

    Une semaine à La Garde : saison 5

     Reproduction d'une pile de Volta (bois et métal) : A l'époque, il s'agissait d'un empilement de disques de zinc et d'argent, alternés et séparés par des rondelles de drap imbibées d'eau acidulée.

     Une semaine à La Garde : saison 5

    Affiche La Fée Electricité (vers 1900)

    Une semaine à La Garde : saison 5

    Allégorie de Maurice Bergès (1916) représentant La houille Blanche (l'électricité)  venant au secours de la Houille noire (le charbon).

     Une semaine à La Garde : saison 5

    Maquette des Etablissements Keller et Leleux, producteurs de carbure de calcium et de fonte synthétique avec la Centrale de Livet et la maison du Directeur, en haut de la chute

    Une semaine à La Garde : saison 5

     Une semaine à La Garde : saison 5

     La maison de M. Keller, sur pilotis, domine la Centrale de Livet.

    Une semaine à La Garde : saison 5

    Vue sur le lac de barrage de Grand'Maison (lac du Vernet)  depuis le musée

    Une semaine à La Garde : saison 5

     Vue sur la Centrale du Vernet depuis le musée

    Une semaine à La Garde : saison 5

    On tourne, on tourne...

    Une semaine à La Garde : saison 5

    Le panneau sur le barrage de Grand'Maison

    Une semaine à La Garde : saison 5

    Schéma de l'ensemble des installations du barrage (cliquer sur la photo pour mieux la voir)

    Une semaine à La Garde : saison 5

    On accède au sous-sol par un escalier (ou un ascenseur) : ici, c'est le royaume des machines, toutes ayant eu leur histoire.

    Une semaine à La Garde : saison 5

    Ancien pupitre de commandes

    Une semaine à La Garde : saison 5 

    En fin de parcours, une exposition temporaire dont voici juste quelques gravures amusantes

    Une école en l'an 2000 : on arrête pas le progrès !

    Une semaine à La Garde : saison 5

    Un chantier de construction électrique en l'an 2000 : visionnaire le dessinateur !

     Les ouvriers sont intégralement remplacés par des robots. Bonjour la courbe du chômage...

    Une semaine à La Garde : saison 5

    Bon : je ne dirai pas que j'ai tout compris dans ce musée... mais il a le mérite d'avoir un peu éclairé ma lanterne qui, au départ, était toute éteinte !

     


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  • Séjour à La Garde du 7 au 14 mars 2015

    Avant de quitter cette belle région, une promenade au nord de Bourg d'Oisans en direction de Vaujany pour aller visiter le Musée EDF Hydrélec du Barrage de Grand'Maison. Nous avons consacré plus de 2 heures à le visiter (en détails il faut dire).

    En effet, après 3 ans de travaux, le Musée a ré-ouvert ses portes avec un nouveau parcours scénographique vraiment attrayant et très pédagogique.

    Cette salle s'appelle "La pyramide du temps"

    Une semaine à La Garde : saison 5

    De grands panneaux font le tour de la salle et expliquent les différentes étapes allant de l'Hydraulique à l'Hydroélectrique pour finir par le Barrage de Grand'Maison.

    Panneau sur l'Hydraulique

    Une semaine à La Garde : saison 5

     Panneau sur l'Electricité

     Une semaine à La Garde : saison 5

     Les expériences électrostatiques de l'Abbé Nollet (1700-1770)

    Ce dernier présentait des expériences extraordinaires dans les salons mondains. Ainsi, sur cette gravure où un "cobaye" humain, suspendu, est électrisé à l'aide d'un tube de verre frotté, attirant ainsi des copeaux d'or avec ses doigts....

    Pour tout vous dire, je préfère encore vivre au 21ème siècle !

    Une semaine à La Garde : saison 5

    Immeuble électrifié (1885)

    Une semaine à La Garde : saison 5

     Invention de la pile

    Une semaine à La Garde : saison 5

     Reproduction d'une pile de Volta (bois et métal) : A l'époque, il s'agissait d'un empilement de disques de zinc et d'argent, alternés et séparés par des rondelles de drap imbibées d'eau acidulée.

     Une semaine à La Garde : saison 5

    Affiche La Fée Electricité (vers 1900)

    Une semaine à La Garde : saison 5

    Allégorie de Maurice Bergès (1916) représentant La houille Blanche (l'électricité)  venant au secours de la Houille noire (le charbon).

     Une semaine à La Garde : saison 5

    Maquette des Etablissements Keller et Leleux, producteurs de carbure de calcium et de fonte synthétique avec la Centrale de Livet et la maison du Directeur, en haut de la chute

    Une semaine à La Garde : saison 5

     Une semaine à La Garde : saison 5

     La maison de M. Keller, sur pilotis, domine la Centrale de Livet.

    Une semaine à La Garde : saison 5

    Vue sur le lac de barrage de Grand'Maison (lac du Vernet)  depuis le musée

    Une semaine à La Garde : saison 5

     Vue sur la Centrale du Vernet depuis le musée

    Une semaine à La Garde : saison 5

    On tourne, on tourne...

    Une semaine à La Garde : saison 5

    Le panneau sur le barrage de Grand'Maison

    Une semaine à La Garde : saison 5

    Schéma de l'ensemble des installations du barrage (cliquer sur la photo pour mieux la voir)

    Une semaine à La Garde : saison 5

    On accède au sous-sol par un escalier (ou un ascenseur) : ici, c'est le royaume des machines, toutes ayant eu leur histoire.

    Une semaine à La Garde : saison 5

    Ancien pupitre de commandes

    Une semaine à La Garde : saison 5 

    En fin de parcours, une exposition temporaire dont voici juste quelques gravures amusantes

    Une école en l'an 2000 : on arrête pas le progrès !

    Une semaine à La Garde : saison 5

    Un chantier de construction électrique en l'an 2000 : visionnaire le dessinateur !

     Les ouvriers sont intégralement remplacés par des robots. Bonjour la courbe du chômage...

    Une semaine à La Garde : saison 5

    Bon : je ne dirai pas que j'ai tout compris dans ce musée... mais il a le mérite d'avoir un peu éclairé ma lanterne qui, au départ, était toute éteinte !


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  • Séjour à La Garde du 7 au 14 mars 2015

    Aujourd'hui, c'est un très joli village que nous allons aller visiter : celui de Besse en Oisans. Pour y aller, encore une route qui tourne... Heureusement qu'André se régale au volant de sa Mégane qu'il aime un peu "booster" : nous, à l'arrière, on suit le mouvement en serrant les fesses !

    Pour y aller, il faut tout d'abord prendre la route du barrage du Chambon.

    Gardillons pour une semaine : saison 4

     Au passage, une jolie cascade

    "On s'arrête pour faire une photo ?" dit André. "A celui qui fera la plus belle !"

    Moi, je fais celle-ci...

    Gardillons pour une semaine : saison 4

     et celle-ci...

    Gardillons pour une semaine : saison 4

    André : celle-là !

    Gardillons pour une semaine : saison 4

    Evidemment...,les dés sont pipés ! Enfin, je lui pardonne car la photo est vraiment belle.

    Encore quelques lacets et nous voici arrivés au Lac Chambon : superbe, non ?

    Gardillons pour une semaine : saison 4

     Quelques lacets plus loin, le village de Besse en Oisans qui a su garder son authenticité.

     Gardillons pour une semaine : saison 4

     Son cimetière, tout comme celui de Huez, jouit d'une situation exceptionnelle.

    Gardillons pour une semaine : saison 4

    Les maisons ont été restaurées à l'ancienne (pierre de l'Oisans et bois).

    Gardillons pour une semaine : saison 4

    On y trouve plusieurs fontaines typiques de la région.

    Gardillons pour une semaine : saison 4

     Gardillons pour une semaine : saison 4

    Plaque de rue en ardoise et pierre datée

     Gardillons pour une semaine : saison 4

    Tiens... "des zézés" dirait André !

     Gardillons pour une semaine : saison 4

    Nous sommes ici dans les Hautes Alpes où les cadrans solaires sont légion...

     Gardillons pour une semaine : saison 4

    Qu'il doit être agréable de se dorer au soleil sur ce balcon de bois bien orienté...

    Gardillons pour une semaine : saison 4

    Joli reflet André...

     Gardillons pour une semaine : saison 4

    On ne se lasse pas de cliquer...

    Gardillons pour une semaine : saison 4

    Sur la route du retour, le village de Mizoën

    Gardillons pour une semaine : saison 4

    D'ici, on a une vue plongeante sur le barrage et le lac Chambon.

    Gardillons pour une semaine : saison 4

     Et en montant vers l'église, on jouit d'un beau panorama sur les montagnes environnantes.

    Gardillons pour une semaine : saison 4

    On accède par là à une table d'orientation qui aide les touristes à se repérer.

    Gardillons pour une semaine : saison 4

    Pas si touristes que ça mes cousins puisqu'ils connaissent l'endroit depuis une bonne trentaine d'années...

     Gardillons pour une semaine : saison 4

    Vous avez remarqué ?

    Depuis le début du séjour à La Garde nous avons un grand soleil : cool !

    La suite au prochain numéro...

     


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  • Séjour à La Garde du 7 au 14 mars 2015

    Au-dessus de La Garde se trouve Huez, un petit village tranquille, à l'abri des touristes.

    Gardillons pour une semaine : saison 3

     L'un d'eux a réussi à s'infiltrer...

     Gardillons pour une semaine : saison 3

    Chaque village a sa ou ses fontaine(s) : celle-ci est surmontée d'une petite vierge noire.

    Gardillons pour une semaine : saison 3

     Gardillons pour une semaine : saison 3

     Un peu à contre jour le calvaire : dommage

    Gardillons pour une semaine : saison 3

     L'intérieur de l'église Sainte-Anne est très sobre.

     Gardillons pour une semaine : saison 3

    Dans le choeur, une originale vierge à l'enfant sculptée à même un tronc d'arbre

    Gardillons pour une semaine : saison 3

    Si l'on continue la route aux 21 lacets dont je vous ai parlé précédemment, on arrive à 1860 mètres d'altitude : c'est là que se trouve la station de sports d'hiver de l'Alpe d'Huez.

    Gardillons pour une semaine : saison 3

    Et c'est chez Jeannot Sports que nous avons loué, comme il y a quatre ans, nos skis et nos chaussures. Mêmes tenues qu'à l'époque : qui irait voir qu'il s'agit ici d'une ancienne photo ?

    Gardillons pour une semaine : saison 3

    Parlons prix : comme André et Evelyne sont des habitués de la maison, nous avons eu droit à un bon rabais et, pour les remontées mécaniques, comme nous avions tous plus de 65 ans, nous avons bénéficié du tarif senior.

    COOL !

    Ski avec Linette et André

    Gardillons pour une semaine : saison 3

     Gardillons pour une semaine : saison 3

    et découverte des sommets enneigés (3300 mètres) avec Philippe

    Gardillons pour une semaine : saison 3

    Gardillons pour une semaine : saison 3

    Gardillons pour une semaine : saison 3

    Bonjour la photo de couple !

    Gardillons pour une semaine : saison 3

     Après l'effort, le réconfort en terrasse avec une photo amusante (regardez le reflet)

    Gardillons pour une semaine : saison 3

    Gardillons pour une semaine : saison 3

    Gardillons pour une semaine : saison 3

    Gardillons pour une semaine : saison 3

    Avant de quitter la station, une petite visite de son église, Notre Dame des Neiges, conçue par Jean Marol pour figurer la tente qu'Abraham planta dans le désert. On dit aussi que la forme de l'église reproduit la silhouette de la Meije, sommet de la région culminant à 3984 mètres.

    Gardillons pour une semaine : saison 3

    L'église possède un hall d'entrée complètement séparé du restant de l'édifice.

    Gardillons pour une semaine : saison 3

          Après avoir monté l'escalier, on entre directement dans le choeur où l'on découvre un puits de lumière abritant le très original orgue dessiné par le célèbre organiste Jean Guillou (longtemps titulaire du Grand-Orgue de Saint-Eustacle à Paris).

    Gardillons pour une semaine : saison 3

    L'assemblée des fidèles est assise en rond comme autour d'un feu de camp...

    Gardillons pour une semaine : saison 3

    Un organiste était justement en train de répéter en vue du concert hebdomadaire du jeudi soir.

    Gardillons pour une semaine : saison 3

    L'église possède aussi une série de vitraux tout à fait remarquables, oeuvre du dauphinois Arcabas. Ils sont inspirés de l'Evangile selon Saint-Marc (merci internet...) En voici quelques uns dans le désordre.

    Jésus fait son entrée à Jérusalem

    Gardillons pour une semaine : saison 3

    Guérison de l'aveugle de Bethsaide

    Gardillons pour une semaine : saison 3

    L'agneau de Dieu

          Gardillons pour une semaine : saison 3

          Le baiser de Judas et le reniement de Pierre

    Gardillons pour une semaine : saison 3

    Outrage et passion de Jésus

    Gardillons pour une semaine : saison 3

          Prochain article sur ces vacances alpines très bientôt...

     


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