• Cinéma ce samedi après-midi avec un très bon film roumain de Horatiu Malaele

    Au diable Staline, vive les mariés !


     L'intrigue est tirée d'un fait divers.

     Elle est le symbole d'une Roumanie réduite au silence

    par les communistes, mais qui apprit à chuchoter

    pour rester elle-même

    et à prendre son joug avec humour.

    Le synopsis

    Roumanie, de nos jours.
    Une équipe de tournage arrive dans un village isolé pour un reportage sur des phénomènes paranormaux. A la surprise de tous, seules de vieilles femmes en deuil habitent ce village. Quelle est donc leur histoire ?

    Roumanie, 1953.
    Ana et Iancu sont sur le point de se marier. Tout le village s’attelle aux préparatifs
    de la noce. C’est un véritable festin qui attend tous les convives.
    Alors que la fête bat son plein dans le jardin de la maison, le maire du village
    et le commandant du régiment font irruption pour annoncer la mort de Staline
    ainsi qu’une semaine de deuil national prenant effet sur le champ.
    Toutes les festivités sont interdites. Malgré l’interdiction,
    les mariés et leurs invités feront preuve d’ingéniosité pour poursuivre la fête...


    Une bonne critique vaut mieux qu'un long discours...

     


     

    et maintenant, le film


    Courez-y vite !
    C'est si excellent que le film va forcément très vite disparaître des écrans !


    Bon : la salle de l'Epée de bois ne m'a pas vraiment réussi...
    mais le café gourmand, trop bon !

    A voir... ou à revoir !


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  •   La journée internationale des droits de la femme

    est célébrée chaque année le 8 mars et trouve son origine dans les manifestations de femmes au début du XXème siècle en Europe et aux Etats-Unis, réclamant de meilleures conditions de travail et le droit de vote.

     Elle a été officialisée par les Nations Unies en 1977 invitant chaque pays de la planète à célébrer une journée pour les droits des femmes.

    Un petit rappel sur l'historique de cette date

    La création d’une « Journée internationale des droits de la femme » a été proposée pour la première fois en 1910, lors de la 2ème Conférence internationale des femmes socialistes, par Clara Zetkin, Directrice de la revue allemande Die Gleichheit (L’égalité), qu’elle a fondée en 1890.

     Elle s’inscrivait alors dans une perspective révolutionnaire.

     Dès 1911, des manifestations sont organisées en Autriche-Hongrie, au Danemark, en Suisse, en Allemagne, puis les années suivantes en France, aux Pays-Bas, en Russie et en Suède. La date n’est tout d’abord pas fixe, et ce n’est qu’à partir de 1917, avec la grève des ouvrières de Saint-Pétersbourg, que la tradition du 8 mars se met définitivement en place. Après 1945, la Journée internationale des droits de la femme devient une tradition dans le monde entier.

     Une rumeur veut que l’origine du 8 mars remonte à une manifestation d’ouvrièresaméricaines du textile en 1857 durement réprimée par la police. Celles-ci réclament la journée de 10 heures, l'augmentation des salaires, l'égalité entre hommes et femmes à travail égal, la création de crèches et le respect de leur dignité.

     En fait, on ne retrouve nulle trace de cet événement dans la presse de l'époque. Il s'agit sûrement hommage à Clara Zetkin, 1857 étant son année de naissance. 

    La Journée internationale des droits de la femme est maintenant reconnue officiellement par les Nations Unies en 1977, et en France en 1982.

     Résultat des courses : c'est pas gagné pour tout le monde !

     

    Mais il y a pire ailleurs...


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