•  Le 26 juin, notre chorale a donné son concert de fin d'année. Philippe était gentiment venu pour nous filmer ainsi qu'Arlette et mon amie Claire, spécialiste en la matière puisqu'elle chante également dans une chorale à Malakoff. Tout ce monde pour nous soutenir, c'était sympa !

    Le concert avait lieu à l'Ecole nationale supérieure des Télécoms située, tenez-vous bien, au 46 rue Barrault ! On ne peut pas trouver plus près de chez nous, je crois... L'école s'appelle maintenant Télécom Paristech mais elle existe depuis très longtemps. Elle voit le jour en 1878 sous le nom d'Ecole supérieure du télégraphe et est ouverte aux élèves de l'Ecole Polytechnique ainsi qu'au personnel télégraphiste par concours interne. Les distinctions d'origine disparaissent ainsi : un vrai progrès social. Dix ans plus tard, l'école prend le nom d'Ecole professionnelle des Postes et Télégraphes en associant des élèves-ingénieurs à des élèves-administrateurs. En 1936, elle quitte les locaux du ministère de la rue de Grenelle et vient s'installer au 46, rue Barrault. En 1938 pour son cinquantenaire, le Président de la République, Albert Lebrun, la récompense pour ses faits de Résistance. Elle dispense actuellement un enseignement qui la situe au coeur de la Société de l'information. Elle accueille plus de 1500 étudiant toutes formations confondues et quelques 200 enseignants-chercheurs.

     Après la répétition générale, c'est le concert dans l'amphi Thévenin de l'école.

     Gabriel Vallejo est au piano et Anne Barbé à la direction de choeur

     2012---Anne-et-Gabriel.jpg

     Voici le pupitre des alti dans lequel je chante. Je commence à bien connaître mes collègues que je retrouve avec grand plaisir chaque mardi soir pour les répétitions. Comme vous pouvez le constater, elles ont toutes plus ou moins la cinquantaine et ma foi je ne me sens ainsi pas du tout dépaysée !

     2012---Alti.jpg

    Cette année, le répertoire est très tourné vers les langues étrangères avec des chansons en provenance d'Argentine (Canten, Señores cantores et Tonada de La Quiaca), d'Allemagne (Erlaube Mir de Brahms), d'Amérique (un gospel : Now let'us sing dans un arrangement de Pierre Calmelet), un Shalom anonyme en yiddish, un Dona Nobis en latin  et... une berceuse en langue corse !

     Dona Nobis Pacem (anonyme)

    Erlaube Mir (Johannes Brahms)

     Laurence Groult qui se charge cette année de la technique vocale des choristes, chante ce soir en tant que soprano soliste. Gabriel Vallejo, notre pianiste atitré l'accompagne. Ils interprètent tous les deux ici avec beaucoup de talent "Wolfgang et moi" de Marie-Paule Belle.

     Quelle chance : l'an prochain tous les deux seront de nouveau parmi nous pour nous épauler dans ce difficile travail qui nous guette (je fais confiance à Anne pour nous trouver un programme gratiné !)

     Ninnina, la mia diletta (berceuse corse)

    Shalom (anonyme) 

     Parmi les chansons françaises à notre répertoire cette année, une chanson des rues "La part à Dieu", Quand les hommes vivront d'amour de Raymond Lévêque, l'Orange de Gilbert Bécaud et Potemkine de Jean Ferrat que voici.

     Pour clore cette sympathique soirée, Anne a invité le public à entonner avec nous la dernière chanson, d'origine brésilienne, intitulée "Pega no ganzê". Il s'agit d'onomatopées sur le mot "ganza", la ganza étant une sorte de maracas. Le mot "ganzê" n'existe pas : il est là juste pour la rime.

    Puis, nous nous sommes tous retrouvés autour d'un buffet.

     Un bon moment de convivialité avant que chacun ne se sépare pour l'été.

     Notre chorale en concert à Télécom Paristech


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  •  Déjà 31 ans que je suis fidèle à la fête de la musique et, même si je ne me déplace plus dans Paris comme au temps de ma jeunesse (nostalgie, nostalgie...), je trouve toujours à proximité quelquechose d'intéressant. Après avoir pris la température sur la Butte, j'ai confirmation que ce n'est pas là que je passerai ma soirée... Il y règne une odeur de merguez  et les groupes qui s'y produisent ne sont pas vraiment de mon goût (ni de mon âge !)

     Comme dirait notre ami Shakespeare : beaucoup de bruit pour rien ! Enfin, tous les goûts sont dans la nature et puis, l'essentiel : c'est que tout le monde participe.

     Merguez.JPG

     Barbecue sur la butte

     Rougeoiement du barbecue

     Les verres de bière ont mis le nez dehors...

     Verre de bière

     et les vendeurs de ballons font recette car les enfants sont venus nombreux.

    La-Butte.JPG


    Je me dirige donc vers le Centre Mandapa (voisin) où j'ai repéré un concert de cordes. Je ne suis encore jamais allée dans ce Centre qui propose très régulièrement des spectacles de danse et de musique du monde. Voici l'occasion toute trouvée d'en faire connaissance ! Ce soir, François Bonnet y joue du théorbe. Un nom un peu étrange, n'est-ce pas ? En fait, il s'agit d'un immense luth : l'instrument, créé au XVIème siècle, est originaire d'Italie et possède deux manches, donc deux jeux de cordes. Le petit jeu de 6 cordes doubles est le registre habituel du luth tandis que le grand jeu de 8 cordes jouées à vide permet de soutenir l'harmonie grâce à une vibration prolongée.
     
    François Bonnet au théorbe
     
    François Bonnet au théorbe
     
    Michel Randria est venu prêter main forte avec sa guitare à François Bonnet.
     
    Michel Randria à la guitare 2
    Le duo des musiciens est fort réussi, le théorbe servant d'accompagnement à la guitare.

     Berceuse de François Couperin



    Les deux guitares de François Bonnet ont une bien jolie rosace...
     
     Guitares

     Bref : un bon moment de musique

     Il n'est que 22 heures : j'ai donc largement le temps d'aller traîner du côté de l'église Saint-Anne où il y a toujours des concerts. En effet, dans la crypte Ararat, est programmée la prestation d'un groupe vocal appelé "Le Groupe Lyrique". Au programme, des extraits d'opérettes et l'opéra-bouffe "L'étoile" d'Emmanuel Chabrier.
    Pour info, le terme d'opéra-bouffe est une forme comique de l'opéra et vient du fait qu'à l'origine ces opéras ont été créés au théâtre des Bouffes Parisiens par Offenbach qui en était le propriétaire, l'opérette ayant un livret généralement plus sentimental.
     
    L'histoire

    A chacun de ses anniversaires, le roi Ouf 1er a pour tradition d'offrir à son peuple le réjouissant spectacle de l'empalement d'un sujet rebelle. Il se promène incognito dans la ville mais ne trouve bien sûr personne qui ose le critiquer. Il trouve enfin une victime, un colporteur nommé Lazuli qui par déception amoureuse finira par donner une gifle au roi. On prépare l'exécution, mais on doit l'annuler car l'astrologue de la cour révèle que Ouf et Lazuli sont liés par la même étoile et que si l'un des deux meurt, l'autre le suivra juste après. Lazuli finit par s'enfuir, on le croit mort mais après de multiples rebondissements, il finit par réapparaître et pourra épouser la jolie princesse Laoula.


    Je ne connaissais jusqu'à ce jour d'Emmanuel Chabrier que le célèbre España et je suis vraiment ravie de découvrir ce soir un autre volet de son talent.
     


     
    A l'année prochaine pour d'autres découvertes !

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  •  Hier soir, je suis à nouveau allée applaudir Gabriel Vallejo et son quartet au 59 Rivoli dans le cadre du festival "Jazz pas grave" qui a réuni pendant 3 jours des musiciens de renom dans ce lieu de la culture underground. En attendant le début du concert, nous sommes allées faire un tour dans les ateliers. Le site "On va sortir" parle avec justesse de 6 étages de folie anarchique où les artistes contemporains s'expriment 6 jours sur 7.

     Je leur ai emprunté une photo...

     6-etages-de-folie-anarchique.jpg

    Cette fois-ci, c'est un ami  saxophoniste qui était à l'honneur : Il s'agit de Pierre-Marie Bonafos (il avait accompagné notre chorale pour notre concert de fin d'année l'an dernier).

     Pierre-Marie Bonafos au saxophone (et à la clarinette basse)

    et Guillermo Venturino à la batterie.

     GV - Pierre Marie Bonafos au saxo

     Flavio Perella à la contrebasse

     GV - Flavio Perella à la contrebasse

     et naturellement Gabriel au piano.

     GV - Gabriel au piano 2

    GV - Le GV Quartet

     On s'écoute une petite milonga ?

     Au fait, j'ai croisé au concert Marie-Claire, Elisabeth et Deborah, mes collègues de chorale prévenues par un petit email d'Anne, ma chef de choeur préférée.

     Bientôt toute la chorale viendra écouter Gabriel je pense !


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  •  J'ai découvert grâce à Gabriel Vallejo, le pianiste qui accompagne notre chorale et qui y donnait un concert hier soir, le 59 Rivoli : à l'origine, ce sont des artistes qui ont squatté l'immeuble, en quête d'un local pour créer. Légalisé depuis, il accueille actuellement une trentaine d'artistes internationaux (20 artistes permanents et 10 artistes qui y font des séjours de 3 à 6 mois) travaillant dans la peinture, le dessin, la sculpture, la photographie, le film/vidéo, le collage, la performance, la mode etc etc...

     Comme son nom l'indique, il se situe rue de Rivoli, au numéro 59 (et non au 54 comme je croyais, étourderie qui a bien failli nous faire manquer ce concert... et c'eût été dommage !).

     La façade annonce déjà la couleur : ici, on est dans le domaine de la création.

     Ici, la façade du temps du squat

     59-Rivoli---facade-de-l-immeuble.jpg

     Ici, l'affichette montrant la façade actuelle.

     59 Rivoli - Affiche 1

     L'escalier a été relooké par les artistes.

     59-Rivoli---escalier-2.jpg

     Tout ça, c'est bien joli mais je ne suis pas venue ici pour cela ! J'y suis venue avec Anne Barbé, ma chef de choeur préférée, pour écouter  Gabriel et son quartet dans un programme de sa composition (du jazz argentin contemporain).

     A notre arrivée, 20 minutes avant le début du concert, plus un place dans la salle. Nous avons dû nous installer sur les marches d'un escalier ! Le programmateur événementiel du 59 Rivoli présente le groupe : Gabriel Vallejo au piano, Flavio Perella à la contrebasse, Jean-Batiste Henry au bandonéon et Guillermo Venturino à la percussion.

     59 Rivoli - Présentation du groupe

     Gabriel joue au piano les morceaux de sa composition.

     59 Rivoli - Gabriel 3

     Une contrebasse fort originale au look résolument moderne

    (vous avez vu ? Elle n'a pas de caisse !)

     59 Rivoli - Le contrebassiste et le bandonéoniste

    Quant au percussioniste, comme pour les autres musiciens dont je suis allée regarder le parcours sur internet, j'ai eu la surprise d'apprendre qu'il a plus d'une corde à son arc puisque, en plus d'être un excellent musicien, il est aussi peintre. Il a d'ailleurs fait la pochette du disque de Gabriel que nous écoutons régulièrement à la maison...

    Allez, un peu de pub pour le 59 Rivoli : il est ouvert tous les jours sauf le lundi de 13h à 20h. Chaque samedi et dimanche à 18 heures il y a un concert en entrée libre : il suffit juste de mettre son aubole dans le chapeau à la sortie...

     59 Rivoli - Affiche 2

     C'était : les bons plans de Paris, ma capitale préférée !


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  •  Ce samedi, nous sommes allés écouter un opéra dans sa version de concert à la Salle Gaveau "Il Trovatore" de Verdi. C'est en effet la première oeuvre de la saison choisie par Martin Lebel, le chef d'orchestre de l'Orchestre philarmonique de la RATP auquel nous sommes fidèles depuis l'an dernier .

    Bon, pour le prochain concert, il va falloir que je demande à Jean-Michel Roquefort, le Président de l'Orchestre philarmonique, qui m'a déjà si gentiment téléphoné l'an dernier à plusieurs reprises pour me fournir tous les renseignements nécessaires au versement de notre cotisation personnelle pour l'année 2010 et les billets pour le spectacle au Casino de Paris, de veiller à nous accorder de meilleures places que celles-ci, placées juste derrière le caméraman qui enregistrait le spectacle... Vous savez que je plaisante bien sûr mais tout de même, pour que Philippe puisse enfin déplier un peu ses gambettes coincées pendant les deux premiers actes entre son siège et le dossier d'un spectateur particulièrement remuant... il a fallu que nous descendions nous installer après l'entr'acte dans les fauteuils d'orchestre laissés libres pendant les deux premiers actes et que mon oeil de lynx avait tout de suite repérés.

    Le trouvère - La salle Gaveau

     Martin Lebel, c'est lui et il porte bien son nom. De surcroît, il est extrêmement sympathique, ce qui ne gâche rien : on a toujours plaisir à le voir diriger cet orchestre composé de musiciens amateurs faisant partie des différents secteurs de la Régie.

     Il dirige l'Orchestre depuis 1996 et s'impose une mission éducative en assortissant d'un commentaire l'exécution de chaque oeuvre. C'est ainsi que pour chacun des 4 actes de cette représentation purement orchestrale et donc sans sous-titres, il a fait un rapide résumé de l'intrigue, fort complexe par ailleurs, toujours avec la pointe d'humour qui le caractérise, permettant à un public pas forcément ultra connaisseur de cette forme d'art lyrique d'en apprécier l'écoute.

    Le Trouvère - Martin Lebel

    Le prologue de l'opéra peur se résumer ainsi. L'action se déroule en Aragon.

    Avant le lever du rideau, Ferrando, capitaine de la garde, narre au spectateur le contexte dans lequel l'opéra va se dérouler : le père du comte de Luna a eu deux fils d'un âge proche. Une nuit, on découvrit une gitane près du berceau du plus jeune des deux frères. On la chassa, mais l'enfant tomba malade peu après et on pensa qu'elle lui avait jeté un sort. Elle fut retrouvée et condamnée au bûcher.

    La fille de la gitane, Azucena, décidée à venger sa mère, s'introduisit dans le château et s'empara du jeune enfant dans l'intention de le jeter lui aussi au bûcher. Mais elle fut prise d'un accès de folie et jeta au bûcher son propre enfant à la place de l'héritier. Elle éleva alors l'enfant du comte de Luna comme son propre fils. Il prit le nom de Manrico.

    Au début de l'opéra, Manrico est devenu adulte et trouvère (troubadour), et Azucena est toujours décidée à exercer sa vengeance contre le comte de Luna à travers Manrico.

     

    Je ne vous raconterai pas les 4 actes de cet opéra : sachez seulement que Léonora est amoureuse du Trouvère, Manrico, et réciproquement mais que le comte de Luna l'aime également...

    Comme Martin Lebel nous l'a lui-même dit en plaisantant :

    "de toutes façons dans les opéras, il y a forcément une tragédie : le ténor et la soprano sont toujours fous amoureux l'un de l'autre et le baryton est un concurrent gênant, ce qui fait que l'issue du drame est toujours sanglante !"

     L'Orchestre philarmonique de la RATP s'était adjoint pour la représentation la participation de plusieurs grands solistes. J'avoue que la Soprano Catherine Manandaza dans le rôle de Léonora m'a époustoufflée et le reste de l'auditoire aussi par sa puissance et l'amplitude de sa tessiture ainsi que par la sensibilité avec laquelle elle interprète sa partition. La voilà ici dans l'un de ses solos lors de la représentation

     Le trouvère - Catherine Manandaza

     Ici avec le ténor, Georges Wanis, jouant le rôle de Manrico, le Trouvère

     Pour écouter des extraits audio du répertoire de Catherine Manandaza, cliquez ICI.

     Le trouvère - Georges Wanis etCatherine Manandaza

     Voici une photo de Georges Wanis issue de son site dans lequel on peut apprendre qu'il est né au Caire en 1971 de père égyptien et de mère italienne. Il y a entamé ses études de chant lyrique et est ensuite venu en France pour intégrer le Conservatoire de Musique de Paris où il obtiendra son diplôme de concertiste. Pour l'écouter dans l'une des oeuvres qu'il a interprétées, cliquez ICI. Une très belle voix également.

     Le trouvère - Georges Wanis

    Mais qui jouait le rôle du comte de Luna me direz-vous ?

    Il s'agit du baryton Christian Le Moal

    Tiens tiens "Le Moal" ça me dit quelque chose... A n'en pas douter il s'agit d'un proche de Malika Bellaribi-Le Moal, la mezzo soprano jouant le rôle d'Azucena la gitane... Pourquoi pas son mari ? (même si j'ai lu sur mon ami internet que celui-ci était psychothérapeute. Après tout, on peut être psychothérapeute et néanmoins baryton !)

    Celle-ci a droit à un encart spécial dans le programme vendu à l'entrée de la salle (pour seulement 5 euros si l'on est membre honoraire comme nous) et pour cause : elle est à l'origine de la création de ce spectacle en collaboration avec l'Orchestre philarmonique de la RATP, lui-même désireux de monter un opéra. Malika Bellabiribi souhaite, en dehors de la scène, mettre le Chant Lyrique à la portée de tous et met ainsi en place des ateliers pédagogiques dans les quartiers défavorisés du nord du département des Hauts de Seine. Les choeurs du Trouvère sont donc composés de chanteurs des ateliers de chant lyrique du Centre Social et Culturel des Fossés Jean de Colombes.

     Malika Bellaribi-Le Moal : un parcours atypique...

     Née en 1956 dans un bidonville de Nanterre, où ses parents, arrivés d’Algérie, se sont installés, elle est gravement accidentée toute petite lors d'un accident de voiture. Elle sera confiée par son père, pendant une longue période de convalescence, aux religieuses de Saint Vincent de Paul qui l’initient à la musique et lui transmettent leur foi. Elevée dans la culture musulmane, Malika devient catholique. Aujourd’hui, elle revendique à la fois l’algérianité de son origine et l’appartenance à la culture chrétienne.

     N’ayant pas au départ envisagé de carrière artistique, elle commence sa vie professionnelle par la direction d’un service de comptabilité en entreprise. Mais bercée depuis l’enfance par les plus belles voix de l’Orient et de l’Occident, elle engage sa carrière en 1982, en s’inscrivant, par désir d’épanouissement personnel, au Conservatoire international de musique de Paris. Encouragée par ses professeurs elle entre, en 1986, à l’Ecole Normale de musique de Paris Alfred Cortot d’où elle sort en 1993 avec un diplôme supérieur de chant.

     Malika Bellabiribi, une battante et une très belle voix !

     Le-trouvere---Malika-Bellaribi-Le-Moal.jpg

    Un très beau spectacle comme tous ceux que Martin Lebel nous concocte.

    Vous l'aurez compris : je suis fan de Martin Lebel !

     Pianiste et violoncelliste, celui-ci a été quatre fois primé au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris : en fugue, en contrepoint, en orchestration et en direction d'orchestre. Depuis 2001 , il est régulièrement invité au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris à donner des Master-Class pour les élèves en classe de direction d'orchestre etc etc... 

     Si mon petit post vous en donne l'envie, vous pouvez essayer de réserver des places pour le concert (version scénique) qui aura lieu à l'Unesco le mardi 20 décembre prochain : je pense que vous ne serez pas déçus. En plus, c'est donné : 12 euros seulement... Je me demande bien si je ne vais pas en réserver moi-même quelques unes s'il en est encore temps !


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